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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 06:59

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LE RETOUR DU CHIEN EN VILLE

NUMERO 1 :

UN ANIMAL,  LIEN SOCIAL et THERAPEUTIQUE

 

 

 

 

UN ANIMAL,  LIEN SOCIAL

 

La ville change nos comportements vis-à-vis des animaux. Des sociologues sont sollicités pour étudier leurs conséquences

 

http://www.espace-sciences.org/sites/espace-sciences.org/files/archive/images/photos/0005/img_1257431083178.jpg 
Dans les villes surpeuplées, les animaux aident
certaines personnes à se faire une place.

 

 

 

 

 

Fini les chevaux dans les rues et les poules dans les cours d'immeubles !

En grossissant, les villes se sont affranchies de la présence animale.

Socialement, cela se traduit par le développement de nouveaux comportements vis-à-vis des animaux et notamment envers les chiens conduisant à une animalité en ville.

Depuis une trentaine d'années, ceux-ci sont sur domestiqués.

Nourris, habillés et parfois chéris comme des enfants, ils occupent une place importante, surtout en France, qui détient le record de l'Europe avec plus de huit millions de bêtes.

 

Les compagnons canins des jeunes gens marginalisés sans domicile fixe, qui se regroupent dans nos villes semblent créer en revanche une gêne vis-à-vis de la population.

Mais ils sont en même temps un lien social entre elle et les jeunes.

Ces phénomènes dus à l'extension des villes et à la concentration des habitants représentent des problématiques nouvelles pour les municipalités, pas toujours préparées ni équipées pour les gérer.

Comment cohabiter avec cette situation parfois conflictuelle ?

 

Le chien est présent  en milieu urbain de manière intime.

Il s’inscrit dans une grande proximité affective, émotionnelle et relationnelle avec son maître mais aussi avec le milieu environnant. 

À l’heure où les rapports interpersonnels sont parfois troublés, la présence du chien fait passerelle entre les usagers de l’espace public.

Il peut contribuer à développer les relations de voisinage et  de quartier dans l’espace de vie de son maître.

En direction des personnes en difficulté, l’animal permet de tisser des liens qui contribuent à maintenir ou à renouer le contact.

Sur un autre plan, la gestion des animaux errants par une collectivité ouvre des perspectives sur la constitution d’un réseau social qui prend en compte les habitants du quartier.

 


 

Dans l’environnement du foyer


À l’intérieur de la famille, le chien contribue aux échanges entre les générations.

Il accompagne l’enfant dans son développement et peut aider les parents dans leur rôle éducatif.

Il crée des opportunités pour ouvrir le dialogue avec les voisins les plus proches.


 

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Dans la rue


Les chiens présents dans un foyer (famille, monoparentale, unique) sont un facteur de contacts avec le voisinage de proximité, les commerçants et l’ensemble des usagers des espaces extérieurs de vie.

Il ouvre le prétexte d’une discussion, d’une question, d’un intérêt à l’égard de son maître. L’empathie qu’il suscite est souvent à l’origine d’un échange.


 

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Dans le quartier


Il a noté qu’une étude a montré que les habitants d’un quartier possesseurs d’un chien ont  une  meilleure  connaissance de  leur environnement  proche.

L’animal  facilite  les relations humaines, la reconnaissance géographique et topographique et une meilleure perception  des habitants d’un même quartier.

Ainsi, les possesseurs de chiens développent moins que les non-possesseurs, un sentiment d’insécurité dans leur quartier, cela semble s’expliquer par le temps important qu’ils passent sur l’espace public qui les rend plus positifs sur la perception de leur environnement.

 

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Vers les personnes en difficulté


Le chien est aussi un facteur qui autorise une action pour identifier les personnes en difficulté, accroître la veille et faciliter l’intervention des services d’une collectivité.

 

Le cas des marginaux avec animaux

Le chien des « SDF » est souvent vécu par les usagers comme un élément de rejet.

Sa présence induit des réactions négatives qui participent à l’exclusion de ces populations. Des actions de médiation conduites dans certaines collectivités ont montré que cet animal pouvait devenir facteur d’intégration.

Les services de la collectivité ou les intervenants sociaux prennent appui sur l’animal pour créer les conditions favorables à un échange.

Le chien est ainsi souvent placé en situation de « médiation  intermédiaire »   car il peut devenir facteur d’intégration au travers des activités d’éducation canine de rue ou les cours collectifs sur un terrain.

Ce principe constitue un retour à la société par l’apprentissage du comportement et de l’éducation du chien.


 

L’éducation canine de rue


Des groupes de possesseurs avec leurs chiens sont guidés par un éducateur dans la rue.

Il agit ici à l’image d’un moniteur d’auto-école pour améliorer et corriger la conduite de l’animal sur l’espace public dans les situations de vie courante.

Par ailleurs, il rappelle les bons gestes de propreté et le comportement attendu par la collectivité.

Cette activité favorise les contacts avec le milieu environnant.

Elle contribue à modifier l’image de la présence de l’animal en milieu urbain.

L’empathie pour l’animal des autres usagers facilite les contacts avec les maîtres.


 

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Avec les enfants


En dehors de la cellule familiale, de nombreuses opportunités existent pour favoriser la  relation  entre  l’enfant et  l’animal.

Outre l’intérêt sur le plan éducatif et pédagogique ; l’école, les centres de loisirs et les animations proposées sur l’espace public permettent à l’enfant de découvrir le lien au Vivant.

Ainsi, une Fête annuelle de l’animal associant les centres de loisirs et les écoles ouvrent la perspective d’une grande diversité de modes d’expression pour les enfants.

De même l’initiation à l’éducation canine en milieu scolaire ou périscolaire est un facteur de mixité et d’intégration sociale.

 

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L’action de la collectivité


L’ensemble des actions de prévention, d’éducation et d’information conduites par la ville participe à modifier le rapport entre les usagers possesseurs et non - possesseurs.

Si la posture de la collectivité n’est pas agressive et qu’elle ne vise pas à stigmatiser une partie de la population, les relations se modifient positivement.

Si la collectivité fait savoir à tous qu’elle prend en compte chacun d’entre eux, la présence de l’animal tend à ne plus être vécue comme un facteur de nuisances.

Le regard porté sur le chien se modifie et il peut participer au rétablissement d’un lien.

 


éducation propreté canine chien ramasse crottes

 

 


UN ANIMAL,  LIEN THERAPEUTIQUE

 


 

Enfants en difficulté


Tellement d’enfants ont eu eux cette irrésistible pulsion qui les poussent vers l’animal ! L’animal peut représenter pour l’enfant un modèle.

N’a-t-il pas, en dépit d’une taille bien inférieure à celle d’un être humain, le secret d’une motricité accomplie et des capacités sensorielles enviables.

L’enfant se reconnaît, à travers la simplicité de l’animal, sans éprouver l’incompréhension et le malaise que peut représenter l’univers des adultes.

L’animal-modèle, par ses similitudes avec le petit humain, est parfois considéré sur un pied d’égalité par l’enfant.

Il devient le copain de jeu turbulent, le confident discret, l’ami parfait.

De par sa fidélité, sa simplicité, sa disponibilité, il est symbole de sécurité et de constance en dépit des nombreuses insécurités de la vie.


 

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L’animal est aussi d’un grand secours auprès des adolescents, particulièrement lorsqu’ils doivent composer avec une situation personnelle difficile.

L’adolescence est une période critique de recherche d’identité et de prise progressive d’assurance.

La thérapie par l’animal permet au jeune en difficulté de rétablir un contact socio-affectif avec ce monde dont il se sent extrait.

Les animaux permettent aux jeunes d’exprimer des émotions qu’ils n’osent pas dévoiler aux adultes car cette interaction n’a pas le caractère confrontant des relations humaines.

Leurs défenses s’abaissent et il leur est plus facile d’être authentique.

 

Dans un cadre d’intervention, l’animal est l’agent facilitant la relation d’aide.

De plus, l’interaction jeune/animal prend le caractère d’une dynamique relationnelle à partir de laquelle il est possible d’imaginer le mode d’entrée en relation de l’adolescent.

Il est alors possible de travailler à modeler la relation

intervenant/adolescent/animal afin de la rendre suffisamment significative pour que le jeune puisse la transposer dans d’autres sphères de sa vie.

La création d’un lien thérapeutique significatif est un défi de taille, mais l’animal facilite grandement la chose en étant le « terrain neutre » vers lequel revenir, lorsque l’entretien prend une tournure trop menaçante, ou en étant le véhicule indirect du message que l’intervenant souhaite communiquer.

 


 

Le chien d’assistance


Les chiens d’assistance ont un rôle d’aide et d’assistance au quotidien.

Ils sont capables de rendre de nombreux services :

 

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 Ramasser et rapporter un objet hors de portée d’une personne handicapée : à terre, en hauteur, dans un placard, sous un meuble…Les chiens sont entraînés à saisir et transporter, sans les abîmer, toutes sortes d’objets, depuis une carte de crédit jusqu’à une bouteille d’eau minérale en passant par une paire de lunettes, un trousseau de clés, une télécommande ou une pièce de monnaie…


 Ouvrir ou fermer un tiroir, une porte, qu’il s’agisse d’une porte d’entrée ou d’une porte de placard,


 Accompagner son maître dans les magasins et l’aider à effectuer une transaction : face à un comptoir inaccessible pour une personne handicapée, le chien pourra tendre un porte-monnaie puis récupérer un objet qui lui est tendu, comme un sac ou un billet …

 Aboyer sur commande pour prévenir l’entourage en cas de problème,


 Aller chercher et rapporter à son maître le téléphone sans fil de la maison.


Le chien d’assistance apprendra, en outre, à bien se comporter en toutes circonstances puisqu’il est susceptible d’accompagner son maître partout où il va : école, bancs d’université, magasins, théâtre, cinéma, concerts, grandes surfaces…

En ce qui concerne l’école, la décision revient au chef d’établissement.

Nombre de nos enfants sont aujourd’hui accompagnés de leurs chiens d’assistance. Pour les enseignants, ils permettent aux élèves de mieux aborder le handicap et à l’enfant, de s’intégrer au groupe.

 

Ces simples gestes, le chien d’assistance va les acquérir tout au long de sa formation et les accomplira comme un jeu, un cadeau qu’il offre à son maître.

En contrepartie, celui-ci retrouvera le niveau d’autonomie suffisant pour se sentir tout simplement plus libre et plus assuré face à son environnement, moins dépendant de sa famille ou de son entourage…


 

Le chien guide d’aveugle

Bien vivre avec son Chien Guide est une préoccupation forte. C'est pourquoi c’est toujours, à vous personnes aveugles ou malvoyantes, de réaliser un bilan objectif des avantages à bénéficier d'un Chien Guide et aussi des devoirs qui en incombent.

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Ce qu'un Chien Guide peut vous procurer :


Confort, sécurité, rapidité et détente en déplacement,

Une plus grande confiance en vous,

L’envie de s'ouvrir aux autres,

Le désir d'entreprendre de nouvelles choses...

De nombreuses personnes préfèrent le Chien Guide à la canne blanche, car il renvoie aux autres une image moins "handicapante".

Ce qu'un Chien Guide sait faire :

Répondre aux ordres d'obéissance de base et de direction,

Se positionner devant les passages piétons

Signaler les bordures de trottoirs,

Indiquer un escalier et sécuriser la montée ou la descente,

Trouver une porte, un arrêt de bus, une bouche de métro, un banc, une boîte aux lettres, une cabine téléphonique...

Mémoriser plusieurs parcours, prendre des initiatives...

Désobéir aux ordres en cas de danger. 

Ce que vous pouvez faire avec un Chien Guide :

Mener une vie sociale harmonieuse, en accédant plus facilement aux lieux de loisirs, restaurants...

Aller et venir sans dépendre de l'entourage,

Être actif, autonome : aller au travail, avoir des activités (associatives), aller chercher les enfants à l'école, aller chez le médecin, prendre les transports en commun...

 


Voyager avec un Chien Guide :


Le Chien Guide est autorisé dans les transports en commun (bus, métro, train), dans les taxis, l'avion et il ne paye pas sa place,

il est aussi autorisé dans les hôtels et centres de vacances, le signaler lors de la réservation.

 


Les loisirs avec un Chien Guide :


Randonnée pédestre,

Randonnée équestre (un apprentissage minimum est nécessaire pour que le Chien Guide conduise le cavalier et la monture, lorsqu'il faut mettre pied à terre...)

Jogging,

Cani cross.

 


La famille et le Chien Guide :


Le Chien Guide est sélectionné pour sa docilité et a appris à bien se comporter à la maison en famille comme à l'extérieur,

Il saura se faire discret et sage, à la condition de maintenir les "bonnes manières" qui lui ont été inculquées,

Le maître doit aussi veiller à ce que le travail au harnais soit respecté, car le Chien Guide a besoin de concentration pour garantir la sécurité de son maître,

Le Chien Guide ne requiert pas plus de travail d'entretien qu'un autre chien !

 


L'entourage et le Chien Guide :


Le travail du Chien Guide est basé sur la complicité qui l'unit à son maître, c'est un travail d'équipe, l'entourage doit donc respecter cette connivence.

Il faut expliquer aux passants qu'ils ne doivent pas distraire un Chien Guide qui travaille dans la rue,

Les chiens sont de grands gourmands ! Attention à la ligne de votre Chien Guide ! Imposez votre volonté : c'est votre chien, vous seul savez ce qui est bon pour lui. Veillez à ce qu'il ne mange pas entre les repas.


 

Le chien dans la maladie d’Alzheimer


Le chien a attiré l'attention de chercheurs pour dire que les chiens de thérapie pour les personnes atteintes d'Alzheimer et autres maladies invalidantes étaient importants.

Le chien montre à vivre la vie d'un chien de thérapie.

Le chien et son partenaire humain ont déjà travaillé avec des personnes atteintes d'Alzheimer, prouvant une présence apaisante dans les maisons de soins où ils rendent visite.


Un nombre croissant d'hôpitaux, maisons de soins infirmiers et autres établissements de soins de santé partout au pays sont l'acceptation des chiens spécialement formés et des chats avec des armes de bienvenue.

Quiconque n’a jamais aimé un animal de compagnie sait comment consoler une présence fourrure peut être.

Avoir un animal affectueux au cours de la visite d'un hôpital ou rester à la maison de soins infirmiers peut être particulièrement bénéfique, surtout pour quelqu'un qui a la maladie d'Alzheimer.

Pas n'importe quel chien peut devenu un animal de compagnie thérapie.

Thérapie animaux de compagnie sont évalués pour le tempérament et l'obéissance, puis reçoit une formation rigoureuse pour s'assurer qu'ils (et leurs partenaires de l'homme) sont bien adaptés au travail dans les hôpitaux, les écoles, ou maisons de soins infirmiers.

Les animaux domestiques de plus en plus, surtout les chiens, mais aussi les chats et autres animaux, font des visites thérapeutiques tous les jours.

La présence de l’animal montre que même une visite de courte durée par un chien de thérapie dans une maison de soins infirmiers peut faciliter l'agitation chez les personnes atteintes d'Alzheimer.

Un programme de chiens de thérapie peut être un complément utile à d'autres activités d'apaisement dans une telle situation.

La thérapie par l’animal peut aussi promouvoir l'interaction sociale entre les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.

Divers comportements sociaux ont été enregistrés au sein d’un groupe, y compris des sourires, des rires, des regards. Les malades se penchent, touchent des objets et l’animal.



Les animaux domestiques ont de nombreux avantages pour la santé à aider à conjurer la maladie aussi.

Caresser un chien ou un chat peut être très relaxant, en ralentissant la fréquence cardiaque et abaisser la tension artérielle.

Le stress et la pression artérielle ont été reliés à un risque accru de maladie d'Alzheimer.

Cet exercice régulier permet aussi de garder le poids vers le bas, et l'excès de poids a également été associé à la réflexion lente et la mémoire.


 

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Le chien et les personnes âgées


Pour une personne du grand âge, quitter le domicile où elle a passé parfois toute sa vie constitue toujours une rupture qu'il faut atténuer.

Le maintien du maximum d'habitudes et de repères antérieurs, la poursuite de ses activités préférées, la possibilité de se recréer un "chez-soi" dans un univers collectif en amenant du mobilier personnel, voire son animal préféré, s'avèrent essentiels pour la réussite d'une entrée et d'un séjour en maison de retraite.

La possibilité d'amener son animal de compagnie permet à la Personne Agée de s'obliger à des activités, d'être encore utile, de garder des repères et une relation affective dans sa vie quotidienne, bref de lutter contre la perte d'autonomie et le goût de vivre.

L'animal l'oblige à demeurer altruiste et à s'ouvrir vers l'extérieur.

Il demeure un précieux sujet d'intérêt et de conversation avec autrui.

Il faut le faire manger, le sortir, assurer quotidiennement certains soins et ne pas oublier les rendez-vous chez le vétérinaire.

Une relation particulière s'établit entre les Personnes Agées et leurs animaux de compagnie car ils sont souvent les derniers êtres vivants qui les aiment au quotidien.

Qu'ils soient communs ou personnels, les animaux pallient un déficit affectif omniprésent à l'automne et à la fin de la vie. Leur présence peut avoir des résultats spectaculaires sur les personnes les plus prostrées qui sortent de leur léthargie à la seule vue de ces compagnons de l'être humain.

 

 

 

 

Si les animaux apportent d'indéniables bienfaits à nos Aînés à domicile comme en institution, ils peuvent être aussi à l'origine d'inconvénients et de conflits.

Mais la Vie n'est-elle pas faite aussi de conflits avec son entourage ?

Dans un univers collectif, l'essentiel est surtout d'exister et de ne pas être seulement objet de soins.

Il faut être attentif aux perturbations que les animaux peuvent générer, notamment pour des raisons d'hygiène et de voisinage.

Surtout en collectivité, les animaux souffrent souvent de suralimentation, de nombreuses personnes les sollicitant fréquemment à manger.


 

Des spécialistes ont constaté les bienfaits suivants liés à la présence d'animaux :


 

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  • elle permet de lutter efficacement contre la solitude et le stress,
  • elle stimule émotionnellement les personnes les plus vulnérables, atteintes notamment de déficits cognitifs et de la maladie d'Alzheimer,
  • elle crée des liens affectifs bénéfiques pour tous,
  • elle maintient ou rétablit le sentiment d'utilité,
  • elle est un vecteur de relations sociales,
  • elle procure un sentiment de sécurité et favorise l'estime de soi,
  • elle structure la vie quotidienne des Personnes Agées par les activités qu'elle exige,
  • elle maintient l'indépendance de la personne et ralentit sa perte d'autonomie.

 

La brigade cynophile des Pompiers

 

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Le maître-chien forme et éduque des chiens dans le but d'en faire des compagnons utiles. Ces chiens se voient confier la protection et la guidance de non-voyants ou de personnes handicapées. Ces animaux sont les auxiliaires efficaces de la police, de l'armée, des pompiers militaires, de la gendarmerie, de la sécurité civile.

Outre le dressage, le maître-chien apporte à l'animal tous les soins nécessaires à sa bonne santé (nourriture, propreté). Il fait travailler le chien alors qu'il est encore jeune. Il lui apprend l'obéissance et la patience. Il l'initie à l'attaque, au port d'objets et à la recherche. Il lui apprend à marquer un arrêt devant chaque obstacle (pour les aveugles), à retrouver une personne après avoir flairé un objet lui appartenant (chiens d'avalanche), à rechercher des stupéfiants... Inlassablement, il lui fait faire des exercices de pistage, l'habitue à travailler dans différents types de situations (le feu, l'eau, la neige, les décombres). 

 

La recherche de personnes égarées

Le but de cette recherche est de retrouver une personne portée disparue, s’étant égarée ou ayant fuguée.

Cette recherche s’effectuera selon la méthode dite de questage. Le chien est libre et l’initiative lui est laissé. Le conducteur est là uniquement dans le but de s’assurer que le chien effectue la totalité du secteur qui lui a été demandé de prospecter.

Cette détermination de secteur sera vue avec le COS. Il ne faut pas oublier que dans ce type d’intervention, les pompiers ne sont là qu’en intervenants et qu’une telle opération est sous la tutelle de l’autorité compétente (gendarmerie ou police).

Après la prise de renseignements qui se voudra concise mais complète, il conviendra de déterminer des secteurs de quêtes. En général ce type d’intervention nécessite l’emploi de plusieurs chiens. Lors de l’attribution des secteurs, le Chef d’Unité (CU) veillera à bien répartir les secteurs suivant les chiens. On n’engagera pas par exemple un vieux chien sur un secteur très accidenté. On préférera l’engager sur secteur relativement plat. On veillera aussi au caractère des chiens. On évitera ainsi conflits et autres bagarres inutiles au moment d’une recherche.

Dans la mesure du possible, il est préférable que le conducteur parte sur son secteur accompagné soit d’un gendarme ou bien d’un pompier. Une personne connaissant bien le secteur d’intervention peut également être utile mais ne remplace pas le gendarme demandé.

Un secteur de quête se révélera pratiquement toujours vaste et il est possible que le terrain y soit assez varié (bois, plaine, champ de cultures) . Dans la mesure du possible, on profitera de la fraîcheur du chien pour commencer la recherche dans les parties qui risquent de demander un travail intense du chien. Je pense notamment a des cultures (style maïs) dans lesquelles les chiens ont tendance à ne pas entrer naturellement.

Il est vrai qu’il faut tenir compte du sens du vent mais il peut aussi être bénéfique de tenir compte de la topographie du secteur. Si la dénivellation est importante, on pourra se faire déposer sur le haut du secteur. En zone montagneuse, l’hélicoptère peut par exemple déposer des chiens en haut des cols et la recherche se fera en redescendant vers les véhicules.

Dans une partie découverte du secteur tel qu’un champ la quête du chien devra être dirigée par le maître qui de par son déplacement aspirera son chien dans le même direction que lui afin que la totalité du champ soit bien prospectée. Cette remarque est valable en fait pour toute la recherche par la méthode du questage. Le chien doit avoir l’initiative de la recherche mais c’est le conducteur qui connaît les limites du secteur et donc la zone à prospecter. Par son déplacement, il influencera le chien dans sa quête.

 

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La brigade cynophile de la Police

 

Le maître-chien forme et éduque des chiens dans le but d'en faire des compagnons utiles. Ces chiens se voient confier la protection et la guidance de non-voyants ou de personnes handicapées. Ces animaux sont les auxiliaires efficaces de la police, de l’armée, de la gendarmerie, de la sécurité civile ou de sociétés de gardiennage.
Outre le dressage, le maître-chien apporte à l’animal tous les soins nécessaires à sa bonne santé (nourriture, propreté). Il fait travailler le chien alors qu’il est encore jeune. Il lui apprend l’obéissance et la patience. Il l’initie à l’attaque et au port d’objets. Il lui apprend à marquer un arrêt devant chaque obstacle (pour les aveugles), à retrouver une personne après avoir flairé un objet lui appartenant (chiens d’avalanche), à rechercher des stupéfiants... Inlassablement, il lui fait faire des exercices de pistage, l’habitue à travailler dans différents types de situations (le feu, l’eau, la neige).

Aimer les animaux ne suffit pas pour exercer ce métier qui présente des risques. Si le chien doit faire preuve d’une grande souplesse de caractère et d’une réelle adaptabilité, il en est de même pour le maître. Ce dernier doit être résistant nerveusement et physiquement. 
Au service de la Police nationale, de l’air, des frontières, de l’armée (sécurité des bases aériennes, brigade territoriale ou gendarmerie mobile) et de la sécurité civile, les missions de jour comme de nuit entraînent des horaires de travail très irréguliers. Employé par une société de gardiennage, le maître-chien doit avoir, en outre, une bonne maîtrise des techniques modernes de sécurité (télésurveillance, détection électronique).

 

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Quelques associations participant à notre action :

 


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L’UNADEV a pour projet de favoriser l’intégration sociale et professionnelle des personnes déficientes visuelles, en leur facilitant notamment l’accès à la formation, à l’emploi, au sport, aux loisirs, à la culture...


PC adapté, recherche génétique, centre opthalmo, chien guide

 

Pour cela l’UNADEV agit à la fois aux niveaux national et local par :


Des actions d’intérêt général

A destination des personnes handicapées visuelles, des familles, des structures d’accueil, des entreprises, des collectivités locales...

Un centre national de sensibilisation et d’information sur la cécité

Le soutien à la recherche biologique et médicale

Le centre ophtalmologique (en partenariat avec Médecins du Monde)

Des aides directes aux personnes

Le centre national de formation à distance

Les différents services d’accompagnement (social, sport, culture, insertion professionnelle, auxiliaires de vie sociale...)

La maison de retraite

Des aides aux associations locales de non- et malvoyants


L’UNADEV souhaite apporter son soutien au plus grand nombre de personnes déficientes visuelles en France, personnes et associations les représentant, en les faisant bénéficier de son expérience de 80 ans et de ses ressources humaines, techniques, morales et financières. L’article 3 de ses statuts prévoit que les associations dont l’objet social est en conformité avec ses propres objectifs peuvent adhérer à l’UNADEV.

Le financement et la remise de chiens guides


L'UNADEV a créé plusieurs écoles de chiens guides pour aveugles, qui sont aujourd’hui devenues autonomes, à Mérignac (33) et à Biot (06). L’agence de ROUBAIX collabore à l’ANIMAL, LIEN SOCIAL ET THERAPEUTIQUE.

L’UNADEV continue de financer la remise de chiens guides grâce aux nombreux donateurs. Ces remises sont effectuées gratuitement à des non-voyants de toute la France.

 


 

 

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UN ANIMAL N'EST PAS UN JOUET MAIS POUR LA VIE

 

Offrir un animal comme cadeau n'est pas une bonne idée.

Il faut avant cela avoir mûrement réfléchi et surtout en parler avec la personne qui à l'avenir en assumera tous les frais. 

En effet,  c'est un cadeau qui peut s'avérer très coûteux.

Il y a les soins alimentaires, médicaux et bien d'autres.

Une visite chez le vétérinaire peut vous coûter entre 40 et 80 € environ, sans compter les médicaments, cela dépend de la maladie et de la durée de la maladie de l'animal, car certaines maladies nécessitent la prise de médicaments à vie.

Il faut également les faire vacciner annuellement.

Au cas où certains l'ignorent encore, les soins et les médicaments pour un animal de compagnie ne sont pas remboursés.

S'il s'agit d'un chiot ou d'un chaton vous devez l'éduquer et vous risquez de trouver quelques souillures et des dégâts, mais c'est normal...il faut être patient et cela ne sert à rien de crier sans cesse sur l'animal...il faut le temps au temps...ils ne portent pas de langes comme les enfants...pensez-y quand même ! 

Un animal vit en moyenne 12 ans et devra faire partie de votre famille durant tout ce temps, peu importe s'il y a des naissances d'enfants dans votre foyer, une séparation, un déménagement, des problèmes financiers ou autres "la liste peut-être très longue"...il faut assumer, car un animal "n'est pas un objet mais un être vivant avec des sentiments" 


ON NE LES ABANDONNE PAS !

 


 

Depuis peu, en association avec EL BARAQUE DES CHTIS COPAINS, l’association animaux vraie sort des chiens des griffes de refuge pour tout d’abord les soigner puis les faire adopter  par des personnes qui sauront leurs donner amour et tendresse jusqu’à la fin de leurs vies.

Les deux associations s’associent pour la sortie des chiens des refuges et fourrières.  C'est une fourrière et là les chiens ont 8 jours ou une heure en cas d'abandon car à ce moment ils appartiennent à la fourrière et ils ont tout pouvoir. C'est effrayant mais ainsi il y a même des cas ou nous association on les réserve et ils sont euthanasiés avant qu'on puisse les sortir.


 

Association animaux v.r.a.i.e. -calotis 40240 Mauvezin d'Armagnac 

tel.05 58 44 65 06

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ANIM’AIDE

 

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Fondée en 1998, l'association professionnelle vétérinaire Anim'aide a pour vocation:

-de promouvoir le bien-être des animaux de compagnie, des animaux de ferme et de la faune sauvage.

-d'aider les propriétaires en situation de précarité.

-d'améliorer l'intégration de l'animal dans la famille et dans la société.

 

A ce titre Anim'aide participe à des manifestations grand public (salons animaliers, journée sur l'animal, conférences sur les thèmes liés à l'animal,..).

Les vétérinaires présents peuvent assurer la tenue d'un stand où les diverses actions de l'association sont présentées et où des documents sont mis à la disposition du public.

Ces vétérinaires animent également les activités en rapport avec le thème choisi pour la manifestation (conférences, diaporamas, jeux questions/réponses,...).

Les sujets traités lors de manifestations précédentes sont souvent choisis en fonction de l'actualité et des préférences du public ou des autorités locales et reviennent régulièrement: les chiens dits dangereux et la législation, l'éducation du chiot - propreté et sociabilité -, les zoonoses

 

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Zoonose

 

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LEISHMANIOSE


 

 - maladies communes à l'homme et l'animal -, attitude en présence d'un animal errant, perdu, ou d'un animal de la faune sauvage...

La volonté commune de pouvoirs publics, des associations de protections animales et de la profession vétérinaire est d'obtenir la bonne intégration ou réintégration des animaux en ville, en respectant le droit à la détention d'un animal de compagnie mais en s'assurant du respect d'autrui.


Anim'aide continue à développer depuis plusieurs années la mise en place d'un fonds de solidarité, alimenté par les dons des particuliers au sein de cabinets et cliniques vétérinaires volontaires, pour permettre à des personnes démunies d'effectuer les soins d'urgence à leur animal après constitution d'un dossier de prise en charge.


En concertation et avec l'aide de la mairie de Lille, des consultations pour les chiens des SDF de Lille sont régulièrement organisées depuis 3 ans avec plusieurs vétérinaires bénévoles.

Le but de l'opération est de permettre un accès aux soins pour les animaux, d'assurer une bonne prévention (vaccinations, traitements antiparasitaires, contraception, conseils en comportement) et de régulariser les chiens (identification, passeports) afin que les propriétaires puissent conserver leur compagnon dont le rôle affectif est essentiel dans les meilleures conditions, sans créer de désagréments ou de risques, et sans que cela puisse constituer un obstacle à leur réinsertion.


En partenariat avec des associations spécialisées, Anim'aide maintient son opération « animal pour un sourire ».

Il s'agit de développer l'accueil ou le maintien d'animaux de compagnie dans les maisons de retraite et les centres médicalisés et de soutenir les actions de « chiens visiteurs ».

Les vétérinaires apportent leur expertise au niveau sanitaire et comportemental pour les animaux et participent à la formation du personnel soignant et des bénévoles propriétaires d’animaux visiteurs ou accompagnant.


Un projet de placement/adoption de chiens seniors est en voie de finalisation cette année. Il permettra aux personnes âgées ou dépendantes de conserver ou de retrouver un compagnon avec la possibilité de lui trouver un placement dans l'éventualité ou elles seraient dans l'impossibilité de le conserver.

Cette opération sera menée parmi la clientèle des vétérinaires volontaires de toute la région avec l'aide des associations de protection animale locales.


PG

ANIM'AIDE Nord - Pas de Calais - Picardie

ANIM'AIDE

Nord-Pas de Calais-

Picardie

Vétérinaires Pour Tous-

France

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