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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 08:19



Nous voilà perdu au beau milieu de la Forêt Interdite, forêt mystérieuse et magique où Harry Potter a rencontré ses pires ennemies … Que nenni ! Nous nous sommes juste égarés en Pologne où cette forêt d’arbres tortues existe belle et bien.

La forêt tordue est une curiosité de la nature située vers Gryfino, en Pologne. D’une superficie d’environ 1,7 hectare, on y dénombre près de 400 arbres, et plus précisément des pins, tous ayant la particularité d’avoir la base du tronc fortement déformée. En effet, les arbres, d’une hauteur de 11 à 12 mètres et âgés d’environ 80 ans, semblent avoir été pliés. Leur tronc présente un angle de 90°. Puis, 2-3 mètres de croissance plus loin, il reprend une direction apicale et qui plus est, une croissance à direction normale.


Faux de Verzy

À travers les âges, cette forêt tordue, « Krzywy Las » en polonais, a vu naître des rumeurs les plus diverses essayant d’expliquer ce phénomène étrange. Les plus fanatiques y voient l’intervention de trolls malicieux, d’autres remettent en cause la puissance des vents et des tempêtes. Quelques scientifiques parlent également de malformation génétique, comme celle des Faux de Verzy que l’on retrouve près de Reims, en France. (cf photo à gauche)

 

 

Pourtant, l’hypothèse la plus probable seraitd’origine anthropique. Ces pins auraient été plantés, en 1932, par des allemands. En effet, à cette époque la Pologne était sous occupation allemande. Les pins auraient été taillés de la sorte pour des besoins en menuiserie, pour la fabrication de chaises et meubles de forme arrondie et également pour le domaine de la charpenterie, pour une utilisation dans des coques de bateaux. Mais, les arbres n’ont jamais été récoltés en raison du chaos créé lors de la Seconde Guerre mondiale qui éclata en 1939.


Forêt tordue (3)

Image : Forêt de Krzywy Las. (Auteur : Rzuwig)

 

Une autre théorie défend que ces arbres aient été exploités en production de sapins de Noël. Les arbres sont coupés au-dessus du premier étage de branches, permettant à la souche de repousser et d’être à nouveau exploitée quelques années plus tard.

En tout cas, quelle que soit la véritable raison, les arbres ont depuis repris leurs droits et retrouvé le cours normal de leur croissance et nous sommes heureux qu’ils soit là pour nous faire profiter d’un spectacle des plus curieux !

 



 

 

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 13:54

Heure : Jeudi, 16 Janvier 2014 0:10 -

France 5

France

 

Démocratie bourgeoise/dictature en costume 3 pièces 


 
France 5, jeudi 16 janvier à 0:10, « Salariés sans frontières » 

 

« Figurez-vous que juste après le documentaire « Les nouveaux chiens de garde », j'ai eu l'occasion de réaliser un documentaire pour France 5, intitulé « Salariés sans frontières ». 
Figurez-vous que ce documentaire a été livré en septembre 2012 et que depuis 18 mois, France 5 l'avait « oublié » dans des tiroirs. 
Il faut dire que les rapports avec France 5 avaient été très tendus lors du montage au printemps 2012, à l'époque où des dizaines de milliers de spectateurs se précipitaient dans les salles pour voir justement Les Nouveaux chiens de garde. Alors, imaginer qu'il peut y avoir un rapport entre cette censure et le film qui a fait plus de 240 000 entrées au cinéma. Non, quand même pas !! Bon, il est vrai qu'Yves Calvi, un des chouchous de France5, est plutôt bousculé dans Les Nouveaux chiens de garde... Mais, non il ne faut pas voir le mal partout !! 
Officiellement, c'était donc la musique du film et son compositeur, le talentueux et indocile Dick Annegarn, qui ne plaisait pas à la chaîne... Officiellement vous dis-je... 
Toujours est-il que je viens par hasard de m'apercevoir cet après-midi en surfant sur le Net que France 5 s'est enfin décidé de diffuser « Salariés sans frontières » jeudi qui arrive, le 16 janvier à... zéro heure dix. Honteusement, en catimini, histoire de préserver l'illusion de démocratie. Le film n'a bien entendu bénéficié d'aucune promotion de presse de la part de France 5. Résultat, aucun article, aucun reportage, aucun son. Un lien avec Les Nouveaux chiens de garde ? Non vous dis-je !!! 
Alors, pour que l'omerta ne soit pas complète, reste à vous tous de diffuser ce message, d'inciter tout un chacun de regarder sur France 5 ce jeudi 16 janvier à zéro heure dix, « Salariés sans frontières », de l'enregistrer et de le montrer autour de vous. 
Merci à vous »


Gilles Balbastre, co-réalisateur des Nouveaux chiens de garde 

 

link

 

 


En résumé, le film porte sur la destruction du travail ouvrier dans la Grande région (Lorraine, Wallonie, Sarre) qui entoure le Luxembourg et le remplacement des ouvriers de la sidérurgie et des mines de fer par des salariés des services qui tous les matins partent dans le 2ème PIB par habitant du monde nettoyer les bureaux, garder les banques, servir les cafés des golden boys...

Une force sociale relativement structurée autour de syndicats, de partis de gauche, regroupée collectivement, a été ainsi supprimée et remplacée par une autre, celle-ci atomisée, esseulée, désorganisée dans ce coin d'Europe.

Au bénéfice comme d'habitude de ceux, qui comme les De Wendel, ont toujours été soutenus politiquement pour amplifier encore et toujours plus leurs intérêts et leurs profits.  

 


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21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 07:12
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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 07:54

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Résumé

Facebook n'est pas un site internet.

C'est un mode de vie.

Réseaux sociaux, sites de rencontres en ligne, jeux en réseau, chat, smartphone: qu'on le veuille ou non, ces techniques créent de nouvelles habitudes qui révolutionnent nos relations amicales, amoureuses et familiales.

Hier, on s'appelait au téléphone pour se donner rendez-vous et on se voyait.

Aujourd'hui, on s'envoie des " bizzz " et des " love " et des " on se voit quand? ? ? " par chat, mail ou SMS et il n'a jamais été aussi difficile de se voir.

Hier, on appelait ses amis " en direct " pour les inviter à une soirée.

Aujourd'hui, on fait un mail commun ou on crée un événement sur facebook où de plus en plus d'amis cochent la case " je viendrai peut-être ".

Hier, quand on allait à un rendez-vous avec un inconnu, c'était pour le connnaître.

Aujourd'hui, on ne va plus à un rendez-vous sans " googler " celui ou celle qu'on va rencontrer, bref sans avoir l'impression de le ou la connaître déjà.

Hier, on croyait qu'une naissance, qu'un week-end en amoureux ou qu'un dîner arrosé relevaient de la sphère privée.

Aujourd'hui, la génération transparente balance ces photos sur la toile parce que c'est fun, parce qu'il n'y a rien à cacher, par ce que tout le monde le fait.

Fidèle à la méthode qui a fait le succès de " l'open space m'a tuer ", Alexandre des Isnards et Thomas Zuber ont rassemblé leurs expériences et celles de leurs proches pour nous faire prendre conscience de nos nouvelles façons d'être.

 

Livre en PDF à télécharger sur ce lien http://www.hoebeke.fr/upload/Facebook_ch2_Hoebeke.



 

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20 août 2013 2 20 /08 /août /2013 09:07
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11 août 2013 7 11 /08 /août /2013 08:00

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 10:31

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source : link

 

 

 

 

site de l'auteur : www.manicore.com - contacter l'auteur : jean-marc@manicore.com

 

Titre
Auteur(s)
Année parution
Nb pages
prix (approx.)
Editeur
Niveau minimum à mon sens
Dans les coulisses de Greenpeace

Philippe LEQUENNE

1997

205

20 E

L'Harmattan

Tous publics

 

 

 

 

Greenpeace a-t-il pour vocation la défense de l'environnement ?

 

Le présupposé d'une motivation louable ("je veux sauver la planète") implique-t-elle que la vérité est respectée ?

 

Voilà une question que l'auteur de ce livre s'est indiscutablement posée à lui-même après son passage à la tête de Greenpeace France, et qu'il invite ses lecteurs - et les journalistes - à se poser un peu plus.

 

"Dans les coulisses de Greenpeace" n'est pas, contrairement à ce que le lecteur pensera peut-être, une veste qui se retourne, et un ancien militant s'éloignant de la cause environnementale, au contraire.

 

L'auteur tente juste d'expliquer pourquoi, pour bien défendre l'environnement il faut peut-être, paradoxalement, s'éloigner de Greenpeace.

 

 


Trois idées force reviennent en permanence dans ce livre :

Greenpeace est avant tout une agence de communication, non un lieu d'analyse rationnelle des enjeux environnementaux,


Greenpeace communique souvent sur la base d'une vision manichéenne et simpliste du monde qui n'est pas conforme à la réalité des choses (l'exemple du chlore est particulièrement intéressant de ce point de vue), et ne procède à aucune hiérarchisation des enjeux (lutter contre le nucléaire n'est pas le résultat d'une analyse rationnelle qui concluerait qu'il s'agit là de la première menace pour l'humanité, mais le résultat des conditions de naissance de l'organisation),


le fonctionnement de Greenpeace ressemble fortement à celui d'une entreprise : la première contrainte est de maximiser les ressources financières, et donc Greenpeace fait avant tout ce qui plaît à ses donateurs, non avant tout ce qui fait sens au vu des données scientifiques (c'est finalement une autre manière d'exprimer la conclusion de l'alinea précédent).

 


Au risque de susciter l'incompréhension chez nombre de "défenseurs de l'environnement", mon expérience est que Philippe Lequenne... a parfaitement raison de faire ces constats, même si de l'eau a coulé sous les ponts depuis 1991, date à laquelle il a quitté cette ONG (qui n'est pas une association classique, soit dit en passant : Greenpeace n'a pas de membres, mais des donateurs, qui ne se réunissent pas en assemblée et ne choisissent pas les dirigeants, ce que l'auteur regrette également).

 


Greenpeace est-il nuisible pour autant ?

Oui et non, et cela dépend non de Greenpace... mais des journalistes qui relaient son discours.

Si ces derniers savent transformer les affirmations de Greenpeace en questions (il y a de la radioactivité quelque part : mais y en a-t-il plus que d'habitude ? y en a-t-il plus que ce qui dérange le corps humain, ou les lombrics ? Il y a du chlore dans le PVC : en quoi est-ce plus gênant que le reste ? Utiliser du PVC permet-il ou non de faire considérablement baisser un autre problème ? etc) alors le rôle de Greenpeace est utile, comme aiguillon (il en faut) et invitation à se poser des questions.


Mais si Greenpeace doit être confondu avec un labo de recherche, tout ce qui en sort ayant le statut de vérité d'évangile pour la seule raison que la motivation affichée est noble, alors son rôle est plutôt négatif.

Et c'est bien parce que les deux effets coexistent qu'il est difficile de proposer une conclusion tranchée sur cette organisation, que du reste l'auteur se garde bien de donner.


Il est intéressant de noter que le propos de Philippe Lequenne n'est finalement pas très éloigné de celui de... Crichton !

Tous les deux disent que les militants exagèrent volontiers, sans que leur sincérité ne soit nécessairement en cause, ne rendent pas compte du fonctionnement du monde mais de leur vision du monde, décident facilement où se situe le bonheur des peuples sans leur demander leur avis, idéalisent la nature même quand elle produit le paludisme ou les tsunamis, etc.

Ce livre conforte une évidence, et il faut rendre grâce à l'auteur de l'avoir écrit, même s'il ose critiquer une organisation qui revendique de concourir au bonheur des hommes : si vous voulez comprendre comment fonctionne le monde, ce n'est pas chez les défenseurs de l'environnement qu'il faut commencer par s'informer.


En pareil cas, mieux vaut commencer par lire la littérature scientifique ou sa vulgarisation, ce qui permettra ensuite de faire le tri dans les mouvements militants, qui ne sont bien sûr pas à mettre tous sur un pied d'égalité, bien que nombre de journalistes entretiennent le sentiment inverse en usant et abusant du terme "les écologistes" pour désigner indifféremment les Verts, les membres ou donateurs de France Nature Environnement, de Sortir du Nucléaire, d'une association locale luttant contre un projet d'autoroute (ou d'éolienne !), d'une autre oeuvrant pour l'extension d'une aire marine protégée, des scientifiques s'alarmant de la baisse des stocks de poissons, ou encore les promoteurs - fussent-ils ingénieurs des Mines - d'une fiscalité croissante sur l'énergie. S'interdire d'utiliser cette appellation générique "d'écologistes" et désigner nommément les organismes concernés et les buts poursuivis rendrait assurément service au débat public.

 


***

Philippe LEQUENNE (que j'ai rencontré) est actuellement enseignant, et a été directeur de Greenpeace France de 1988 à 1991, puis président des Amis de la Terre de 1991 à 1996.

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18 octobre 2012 4 18 /10 /octobre /2012 06:28

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Je suis la solitaire, seule même parmi les miens
Seule dans cette ère qui m'étouffe comme le silence de mes chagrins
Seule parce que mes pas arrivent de loin
Fatiguée mais debout, le sourire malgré les coups avant que j'm'écroule j'tiens pour combien de temps ?
Mon passé, un boulet que je traîne mais qui m'aplatit quand soudain ma vie devient pente,
Ou pire, à chaque virage m'entraîne dans le ravin
Ecoute, je coule dans le poison mais j'accepte si sonne la Fin
Je suis la solitaire, vagabondant dans la Vie
Vagabondant dans dans la Vie
Vagabondant dans les villes, jamais très très loin du vide
Des noeuds dans le bide me rappellent ce vide que rien ne comble
Et quand le bien me trompe alors là plus rien ne compte !
Alors laisse moi dans mon coin ! Je ne veux partager ma douleur
C'est pour ton bien car la souffrance me tape à toute heure
Par pudeur ou par crainte m'enveloppe ce silence
Je n'ai vu que les violences du système donc excuse mon manque de nuance
Cavale sans fin, je ne peux lâcher les amarres
Mon Dieu, je lâche prise mon âme si torturée a mal
Ma hargne, rien ne l'adoucit : vois l'époque déglingué
Malgré les larmes on a tous ri quand la paix s'est flinguée
Ma vie un braco et mon passé m'a tout pris
A pris la fuite comme mon coeur poussant mon bonheur dans l'oubli
Et quand ma foi roupille, la rage me malmène, me cane même
Ô mon Dieu, pardonne mes failles et mes calvaires
Je m'égare vers la perte, est-ce un suicide inconscient ?
Ne me parlez pas d'hérédité, je ne sais même pas de qui je porte le sang…
Péter les plombs, ça s'accentue quand tu dors sous les ponts
J'ai fuit le désert mais j'ai encore du sable mouvant sous les pompes
Enfant de dehors, j'y suis arrivée candide…
Y a que la lune qui peut me comprendre ou me consoler car elle m'a vu grandir
La Vie m'a jetée dans la nuit et puis m'a laissée seule
Je suis la solitaire, même avec le coeur rempli de mes frères et soeurs…
J'ai vu le pire du pire de près
Pas de jardin secret, un champ de plaies
Chère Etoile j'ai peur, alors chante s'te plait!
M'abandonne pas dans les tourments de ma tête
J'ai peur, m'abandonne pas, je suis perdue sans ton aide
Je suis la solitaire… mais qui peut comprendre?
Je n'ai même pas les mots pour exprimer ce que j'aimerais faire entendre
Mon instinct de survie m'ordonne de prendre le large
De tout plaquer, le rap y compris, car je sais qu'ici je finirai barge!
Et pendant que la paix fait sa radine ce monde nous baratine
Je suis pas chez moi ici, mon coeur coincé en Amérique Latine
Maintenant je sais… même si l'océan nous sépare
J'entends tes pleurs, ta rage, tes peurs et ton espoir
Je suis avec toi ! Et je manquerai pas à l'appel
J'ai le mal du pays, c'est bizarre car je le connais à peine
Je suis la solitaire sans terre et sans attaches
Y'a que le rap qui me tient en laisse et qui me retient quand je m'arrache
La liberté, je l'ai vue qu'à travers une serrure
J'ai mal aux nerfs! Ai-je trop tapé contre les murs de ma cellule?
Je rêve de répit mais la mort vit à ses dépends
Ma vie m'épuise et la fatigue me renvoie à squatter les bancs
J'ai crié "sortez des rangs! "
Mais avec l'âge tous finissent par y rentrer et je reste là face à ces adhérents
Alors je continue ma route en solitaire
Toujours, j'ai pas choisi, mais j'continue avec la foi frère
Donc laissez moi en paix si vous ne comprenez pas
Le système m'a exclue, maltraitée, je n'y rentrerai pas!!!
Je suis la solitaire, le fardeau à l'épaule
En quête d'enseignement mais certainement pas ceux qu'on apprend à l'école
Je crois en Dieu malgré l'époque
En la Vie et je me battrai! J'ai la tête dure, demandez à mes potes!
Ma foi infalsifiable
Je lis dans les signes de la vie, quoi! Tu ne les penses pas si fiables?!
Alors laisse tomber, car seule l'intuition me guide
Et la paix séjourne en moi lorsque mes impulsions me quittent
La colère ma meilleure ennemie Ô Seigneur aide-moi…
De ma mémoire elle veut ma peau s'il te plait reste prés de moi…
J'ai de moins en moins de force je me perds dans ces années
J'suis jeune mais tellement vieille mais comme on dit : on fait aller…
Malgré le trouble dans le crâne, le doute dans le " Graal "
A cran mais où est le diable qu'on le crame!
Ce monde clame de drôles de valeurs sans valeureux soldats
Ici ces bâtards sèment le malheur et boivent du sang dans leur soda
C'est la routine! On m'a souvent dit : " ma soeur,
Mais prends cette pince monseigneur
Puisque le bonheur a fermé la boutique! "
Née dans un monde qui m'a nourri à la broutille
A voulu m'abrutir ! Adorer l'argent qui n'est qu'un outil?!
Pfffffff, laisse-moi dans ma marge!
Le coeur plein de foi même si parfois je me perds un peu dans ma marche
La nuit, j'entends des cris,Des bouts de passé, des rêves détruits,
Détritus de ma mémoire éprise de tristes échos nourrissant ma déprime
Et puis je ferme les yeux fort
Attendant que les anges viennent me parler dans mon sommeil pour un peu de réconfort
Le moral en baisse et en baisse, le fond m'attend
Les années passent et moi j'encaisse et j'encaisse mais jusqu'à quand ?
Car déjà mon âme titube
Mets tes menaces dans ton cul, Mr le gendarme
Tu peux taper j'ai l'habitude !!!!
La douleur physique anesthésiée par celle intérieure
Qui me détériore, accuse parfois mon existence d'erreurs
Alors je m'élève seule les mains vers le ciel
Incomprise et prise à la gorge par cette merde de siècle!
Je suis la solitaire, tu sais celle que l'on prend
Pour une sauvage, que le monde pointe du doigt mais que personne ne comprend
Je suis la solitaire, parfois esclave de mes tourments
Instable dans la routine mais toujours à l'aise dans le mouvement
Je suis la solitaire, amoureuse de l'imprévu
Etre riche et esclave, moi j'préfère être libre et à la rue
Je suis la solitaire, celle qui n'écoute pas les ordres
Seule dans cette époque, seule mais en paix avec les autres.

 

 

 

Paroles Keny Arkana


Titre : Je suis la solitaire

Album : Entre ciment et belle étoile

 



 

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28 septembre 2012 5 28 /09 /septembre /2012 19:19

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source : link

 

 

 

 

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Il arrive un temps dans la vie, où l'on apprend... la différence
Entre tenir la main de l'autre et l'enchaîner à soi

Un temps où l'on apprend que l'amour
Ne signifie pas, se soulager de tout souci sur l'autre
Et que la compagnie n'est pas toujours une garantie contre la solitude

Un temps où l'on apprend que les baisers,
Ne sont que des cadeaux, ne sont pas des promesses

Il arrive un temps dans la vie où l'on apprend à accepter
Ses échecs en gardant la tête haute et les yeux ouverts
Où l'on apprend à bâtir notre vie dans l'instant présent
Parce qu'on ignore si l'on sera toujours là demain...

Il arrive un temps dans la vie où l'on apprend
Que même le soleil brûle si l'on abuse
Alors travaillons à décorer notre jardin intérieur
Au lieu d'attendre que quelqu'un nous offre des fleurs

Il arrive un temps dans la vie où l'on apprend...
La souffrance, la peine, l'absence...
Mais où l'on apprend qu'on a en soi,
La force d'y faire face.

Il arrive un temps dans la vie où l'on découvre... ce que l'on vaut vraiment...
Et l'on continue d'apprendre... avec chaque abandon, chaque perte...
A chaque départ, l'on apprend...

   
 
Capture
Daniel Gerhartz
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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 06:34


Et comme tout n'est pas à tout le monde,
rien n'est en fait, à personne...

La camaraderie amoureuse de feu Emile Armand
N'est pas possible, dans un monde d'argent
L'anationalisme de feu Eugène Lanti
Où partout, les nationalismes font pipi
Ne peut que passer pour un utopisme dément
Les hommes veulent appartenir à quelqu'un
Les femmes veulent appartenir à machin
La jalousie est le contraire de l'amour
Et cependant, tous et toutes, sont dans sa cour
L'on nous fait croire
Et souvent, l'on peut le voir
Qu'être jaloux, c'est beaucoup aimer
Qu'être jalouse, c'est être très attachée
L'amour, c'est donc la propriété
En ce sens, c'est des autres, se confisquer
Les hommes et les femmes veulent s'approprier
Les hommes et les femmes veulent se posséder
Cela leur donne l'illusion de l'amour fou
La contrefaçon qu'on les aime beaucoup
Nous pourrions tout aussi bien
Comme des papillons, sur des fleurs
Nous imprégner de leurs odeurs
Et en boire tous les pleurs
Chaque jour si délicieusement vécu
Personne de vainqueur, personne de vaincu
Mais simplement des amours d'une journée
Comme aussi bien, pour une éternité
Et c'est toujours la sexualité
Qui est encore la moins partagée
Nous sommes des propriétaires
D'une femme, d'un homme, d'enfants, d'une maison
Et ce, à en perdre la raison!
En ce domaine, pas le moindre retardataire
Et comme tout n'est pas à tout le monde
Rien, n'est en fait à personne
Même si des actions sont bonnes
Cest encore la misère qui nous sonde
Nous ne partageons rien, ainsi l'amour nous fuit
Sans discontinuer, nous prostituons nos corps ou nos esprits
C'est ainsi que vivent les patronnes et patrons
Car nous sommes des poltronnes et des poltrons
C'est la grande farandole du pognon
Nos vies sont dans les camisoles
De nos sociétés complètement folles
Pour qu'en tous lieux, l'on s'égorge
Mais nous y mettons des formes
Pour que tout reste dans des normes
Des tueries qui suent nos hypocrisies
Cela fait partie du monde, c'est la vie!
Comme au vieux temps, de la guerre d'Algérie
Et qui dans notre sombre aujourd'hui
Connaît même un peu, l'anationalisme de feu Eugène Lanti?
Et qui dans notre terrifiant aujourd'hui
Connaît même un peu, la camaraderie amoureuse de feu Emile Armand?
Chut! le désastre, il faut l'administrer
Chut! le désastre, il faut le faire apprécier
Chut! bientôt tout sera fini, plus rien à gérer!

Patrice Faubert (2012) pouète, puète, peuète, paraphysicien, Pat dit l'invité sur "hiway.

 

 

 

http://www.lesbouquinsdelasirene.com/medias/images/larevolutionsexuelle.jpg?fx=r_250_250

 

 

Comradeship in love of fire Emile Armand
Is not possible, in a money world
The anationalisme of fire Eugène Lanti
Where everywhere, the nationalisms do pipi
Can only to pass for an utopisme denies
The men want to belong to someone
The women want to belong to machin
Jealousy is the opposite of love
And nevertheless, all and all, are in his course
One does us to believe
And often, one can see it
What to be jealous, is a lot to like
What to be jealous, is to be very attached
Love, this is therefore the property
In this direction, this is others, confiscate itself
The men and the women want to appropriate themselves
The men and the women want to possess themselves
That gives them the illusion of crazy love
The forgery that one likes them a lot
We can all just as well
As butterflies, on flowers
We to impregnate of their odors
And some to drink all the pleurs
Every so day deliciously lived
Person of conqueror, person of overcome
But simply loves of a day
As just as well, for an eternity
And this is always sexuality
Who again less is divided it
We are owners
Of a woman, of a man, of children, of a house
And this, to some to lose the reason!
In this domain, not the late least one
And as all is not at everyone
Nothing, is in fact to anybody
Even if actions are good
Cest again the misery that probes us
We divide nothing, thus love flees us
Without stopping, we prostitute our body or our spirits
This is as well as live the patronize and employers
For we are cowards and cowards
This is the big farandole of the pognon
Our lives are in the camisoles
Of our completely crazy corporations
For that in all places, one s'égorge oneself
But we there put forms
For that any remainder in norms
Killings that sweat our hypocrisies
That is part of the world, this is life!
As to the old time, war of Algeria
And that in our dark one today
Does know even a little, the anationalisme of fire Eugène Lanti?
And that in our terrifying one today
Does know even a little, comradeship in love of fire Emile Armand?
Hush! the disaster, it is necessary to manage it
Hush! the disaster, it is necessary to do it to appreciate
Hush! soon all will be finished, more nothing to manage!

Patrice Faubert (2012) pouète, puète, peuète, paraphysicien, said Pat the guest on "hiway.fr"

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