Cyber action : 369 Halte à la lapidation
Cyber action mise en ligne le 16/08/2010 , en partenariat avec : Amnesty International
Belgique
Elle sera envoyée à : l'Ayatollah Sayed ‘Ali Khamenei et l'ambassadeur d'Iran à Paris
Elle prendra fin le : 31/12/2010
Sakineh Mohammadi Ashtiani, 43 ans, mère de deux enfants, est détenue dans le quartier des condamnés à mort de la prison de Tabriz (nord-ouest de l’Iran) et risque toujours d’être exécutée. Aux alentours du 7 juillet, à la suite d’une vague de protestations internationale, des hauts responsables de Tabriz ont demandé au responsable du pouvoir judiciaire d'accepter que cette femme soit pendue au lieu d'être lapidée. Cette cyber @ction a pour objet de demander qu'elle soit grâciée.
[ 6 429 participations ]
Selon Amnesty International Belgique
http://www.isavelives.be/fr/node/5649
En mai 2006, Sakineh Mohammadi Ashtiani a été déclarée coupable d’avoir eu une « relation illicite » avec deux hommes et s’est vu infliger une peine de 99 coups de fouet. Malgré cela, elle a par
la suite été reconnue coupable d’« adultère en étant mariée », ce qu’elle a nié, et condamnée à mort par lapidation.
À la suite du tollé international de ces dernières semaines, provoqué par la condamnation à mort par lapidation de Sakineh Mohammadi Ashtiani, l'ambassade d’Iran à Londres a annoncé, le 8
juillet, que cette femme ne serait pas exécutée par lapidation, mais n’a mentionné aucune autre méthode d’exécution. Le 10 juillet, le responsable du Haut conseil iranien des droits humains a
déclaré que cette affaire serait réexaminée bien que, a-t-il affirmé, le droit iranien autorise les exécutions par lapidation. Cependant, le 11 juillet, le chef des autorités judiciaires de la
province de l’Azerbaïdjan oriental, Malek Ezhder Sharifi, a fait savoir que la condamnation à mort par lapidation prononcée contre Sakineh Mohammadi Ashtiani était toujours en vigueur et qu’elle
pouvait être appliquée à tout moment sur décision du responsable du pouvoir judiciaire en Iran, l’ayatollah Sadegh Larijani. Malek Ezhder Sharifi a également indiqué que Sakineh Mohammadi
Ashtiani avait été condamnée à la peine capitale dans le cadre de l’affaire concernant le meurtre de son mari, ce qui a été contesté par l'un de ses avocats : la famille de la victime lui aurait
accordé son pardon mais elle aurait été condamnée à 10 années d'emprisonnement pour « complicité ».
Le 14 juillet, Sajjad Qaderzadeh, le fils de Sakineh Mohammadi Ashtiani, a été convoqué à la prison centrale de Tabriz. On pense qu'il a été interrogé par des représentants du ministère du
Renseignement, qui pourraient l’avoir menacé de ne plus répondre aux questions sur sa mère.
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