Une expression de plus en plus employée
Economie, Social et Environnement , sont les maitre-mots du développement durable.
Ces mots raisonnent mal ensemble surtout en ce moment face à la crise économique et si la solidarité était le mot d’ordre essentiel pour faire évoluer notre société et la positionner face à son avenir et progresser vers plus d'éthique.
Car réchauffement climatique, réduction des inégalités, développement de l’économie, l’homme moderne a invneté la notion magique de développement durable que tout le monde ne comprend pas forcément mais qu'il est sage d'appliquer. Les entreprises ont d'ailleurs été les premières à testyer le concept magique qui leur permet d'envisager une nouvelle communication.
Derrière tout ça se cache un véritable enjeu pour notre avenir qu’il est nécessaire de considérer à sa juste valeur. Cette notion
est fraîchement débarquée des contrées anglo-saxonnes qui parlaient de sustainaible devloppement, et c'est en 1987 avec le rapport Brundtland que le terme s'est officialisé (Brundtland
c'est le nom de GRO BRUNDTLAND- Une femme suédoise, ministre de l'environnement, qui a crée et présidé la commission mondiale sur l'Environnement et le développement à l'ONU, c'est elle qui a
officialisé le concept de développement durable d'un manière plus politique)
Ils ont pensé à glisser deux définitions pour expliquer le concept : « Le développement durable est un développement qui permet la
satisfaction des besoins présents sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs ».
« Le développement durable vise à favoriser un état d’harmonie entre les êtres humains et entre l’homme et la nature
».
Bien que la notion de développement durable soit devenue un argument commercial et politique utilisé à toutes les sauces, nous
devons nous réjouir de la prise en considération massive de cette notion dans la gouvernance des entreprise et institutions.