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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 18:52

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Médicament d'origine


La réglementation veut que les médicaments soient testés sur les animaux.


Nous sommes d'accord sur le principe de tester l'innocuité et l'efficacité d'une substance avant de la donner à un humain, mais nous pensons que cela doit se faire sans utiliser des êtres vivants non consentants.

 

Il existe de nombreuses méthodes substitutives qui, une fois combinées, peuvent déterminer, avec une précision croissante, la réponse de l'organisme humain à une substance testée. (voir le film "Safer Medicines")


Plutôt que de faire évoluer la réglementation, les laboratoires, qui sont pourtant les mieux placés pour constater le manque de prédictibilité du modèle animal, se contentent de dire qu'ils ne font qu'appliquer la loi !


Début 2008, un consortium de 18 firmes pharmaceutiques a cependant demandé l'abolition de la tristement célèbre DL50 dans le cadre de leurs tests précliniques (Dose Léthale à laquelle 50% d'un groupe d'animaux décède).

 

La DL50 était obligatoire pour tester les médicaments mais s'est révélée inutile car ne pouvait servir à déterminer les doses applicables à l'homme.

 

 

Médicament générique


Lorsque le brevet d'un médicament prend fin après une vingtaine d'années, la molécule active tombe dans le domaine public et peut être utilisée par d'autres laboratoires.


Le médicament générique est la réplique ou l'équivalent du médicament d'origine.

 

La réglementation estime qu'il n'est pas utile de re-tester ce médicament sur les animaux.

 

Seuls quelques tests basés sur les humains par "bioéquivalence" (http://fr.wikipedia.org/wiki/Bio%C3%A9quivalence) sont nécessaires.


En effet, après une vingtaine d'années d'utilisation sur un grand éventail d'humains, l'efficacité et les effets indésirables du médicament sont bien connus.

 

Les médicaments génériques sont donc beaucoup plus sûrs que les nouveaux médicaments mis sur le marché !

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7 janvier 2012 6 07 /01 /janvier /2012 10:20

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Il est désormais interdit d'utiliser un avertisseur de radars dans sa voiture. L'infraction est punie de 1500 euros d'amende et le retrait de 6 points du permis de conduire. Si les kits mains libres restent autorisés, l'usage d'un téléphone saisi en main sera plus sévèrement puni, et les écrans autres que ceux du GPS placés dans le champ de vision du conducteur seront saisis.

 


Le gouvernement a fait publier ce mercredi au Journal Officiel le décret n°2012-3, qui impose entre autres mesures de sécurité routière l'interdiction des avertisseurs de radars. Le texte vient compléter l'article R413-15 du code de la route, qui instaurait déjà une amende de 1500 euros pour la détention d'un détecteur de radars, en précisant que "les dispositions du présent article sont également applicables aux dispositifs ou produits visant à avertir ou informer de la localisation d'appareils, instruments ou systèmes servant à la constatation des infractions à la législation ou à la réglementation de la circulation routière".

 

 

L'amende, très lourde, est systématiquement accompagnée d'un retrait de 6 points du permis de conduire.

En outre, elle peut être assortie sur décision du juge d'une confiscation de trois ans du permis de conduire, et même de la confiscation du véhicule "lorsque le dispositif qui a servi ou était destiné à commettre l'infraction est placé, adapté ou appliqué sur un véhicule".

Ce qui est typiquement le cas des GPS embarqués dans les tableaux de bord.

 

Reste à voir, en pratique, comment les forces de l'ordre pourront reconnaître un GPS traditionnel d'un GPS équipé frauduleusement de points d'intérêts signalant les radars.

 

Le texte ne donne aux agents de police aucun pouvoir de vérification du contenu de l'appareil utilisé.

 

La mesure, annoncée il y a de nombreux mois, a été anticipée par les constructeurs.

Ils ne signalent plus officiellement la présence de radars, mais la présence de "zones dangereuses" parmi lesquelles se trouvent les radars. 

 

Alors qu'elle avait été envisagée, l'interdiction des kits mains libres n'a en revanche pas été officialisée par le gouvernement.

Dans un rapport, la sécurité routière avait préconisé de brider les kits mains libres pour "limiter les appels ou d'alerter le conducteur lorsque la situation routière nécessite toutes ses capacités attentionnelles ou lorsque son comportement de conduite dénote un défaut d'attention".

D'abord retenue par François Fillon, la solution semble avoir été au moins provisoirement écartée.

 

Le décret aggrave néanmoins les sanctions pour l'usage d'un téléphone tenu en main (l'amende passe de 35 à 135 euros, et le retrait de points de 2 à 3 points), et celles concernant l'usage d'un écran autre qu'un GPS dans le champ de vision du conducteur. Pour cette dernière infraction, l'amende passe à 1500 euros, le retrait à 3 points, et l'appareil est automatiquement saisi.

 

 

 

 

 

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 09:31

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Jeudi, 22 Décembre 2011

 

 

Ils sont 1,6 million de fauchés qui renoncent à affronter

les démarches pour le toucher.

Soit par découragement, soit par manque d'information…

soit par choix.



Le discours sur le «cancer» des assistés va prendre du plomb dans l'aile : Non, les pauvres ne pompent pas les finances de l'Etat jusqu'à la moelle. C'est le très officiel rapport du Comité national d'évaluation sur le RSA, remis ce 15 décembre à Roselyne Bachelot, qui le démontre. Plus de 1 million de foyers qui vivotent avec quelques heures de boulot et pourraient donc toucher un complément de salaire via le RSA "activité" ne le réclament pas. Un million ! Soit les deux tiers des ayants-droit qui regardent passer les plats.

Idem pour les chômeurs en fin de droit. Ils sont 1,8 million qui ne bossent pas du tout et pourraient bénéficier d'un RSA complet. Mais plus d'un tiers - 650.000 - ne le demandent pas. Et ils y perdent : pas vraiment gloutons, ces pauvres laissent ainsi filer 249 euros par mois en moyenne. «On est loin du discours selon lequel les gens grappillent un maximum d'aides», ironise Nicole Maestracci, représentante des associations au sein du Comité national d'évaluation.

Bande d'ingrats

Principale raison de ce manque d'entrain : le RSA est une sacrée usine à gaz, pas bien connue et beaucoup plus compliquée que le RMI, qu'il a remplacé en 2009. La moitié des travailleurs précaires ne savent pas qu'ils peuvent cumuler boulot et RSA, révèle le rapport. L'étude est carrée : 3.500 personnes ont été interrogées individuellement. Et les résultats sont plutôt décoiffants.

Parmi les nombreux foyers qui ne réclament rien, beaucoup ne le font pas par ignorance mais par choix. Quatre sur dix préfèrent «se débrouiller autrement». Et près de 30% d'entre eux y renoncent «par principe», parce qu'ils n'ont «pas envie de dépendre de l'aide sociale ou de devoir quelque chose à l'Etat». Un chiffre pas franchement claironné par nos politiques.

Avec tout ça, l'État fait de jolies économies : 5,3 milliards d'aides non distribuées en 2010 ! «C'est une économie sur le dos des pauvres», râle Martin Hirsch, l'inventeur du dispositif. Il réclame «une vaste campagne d'information», mais l'État n'est pas pressé. Le RSA a coûté 7 milliards l'an dernier. Alors, ajouter 5 milliards en temps de crise...

Les auteurs du rapport, eux, se grattent la tête. Si le RSA est boudé en raison d'«un faible intérêt pour l'allocation» ou «un refus de principe», écrivent-ils, «une meilleure information, pour souhaitable qu'elle soit, ne suffira pas à résoudre le problème». Salauds de pauvres qui refusent d'être aidés !

Formulaires de rien

«On sent chez les gens une lassitude à faire des démarches et à être stigmatisés», note le sociologue Philippe Warin qui a créé l'Odenore, un groupe d'études sur ce phénomène de «non-recours » à l'assistance sociale.

Car le RSA n'est pas la seule prestation dédaignée. Trop compliquées ou mal connues, un tas d'autres aides ne sont pas réclamées. Ce phénomène, ignoré, est tellement fréquent que l'Observatoire national de la pauvreté y consacrera un colloque le 12 mars prochain. Le talent de nos têtes pensantes à monter des labyrinthes administratifs est en effet infini. Et décourageant à souhait. Près de 400.000 personnes qui pourraient avoir droit à une couverture complémentaire gratuite (CMU-C) s'en dispensent. Pour l'aide à l'acquisition d'une complémentaire santé (ACS), c'est encore mieux : 80% de non-réclamations. Idem pour les tarifs sociaux du gaz ou de l'électricité.

Les fauchés ne se pressent pas non plus aux guichets des caisses d'allocations familiales (CAF) : «Pour 1 euro de fraude, il y a 3 euros de rappel de prestations non versées au départ», souligne Philippe Warin. Et ces rappels ne sont qu'une goutte d'eau dans l'océan des prestations à jamais perdues. «Du coup, on a du mal à sensibiliser les collectivités ou l'administration sur le sujet. Ils nous disent : "Ouh la la ! ça va faire mal au budget !"» Mieux vaut continuer de noyer les allocataires sous des montagnes de formulaires.

Depuis 2009, les CAF passent au peigne fin 10.500 dossiers par an pour détecter les fraudes. «On pourrait en profiter pour repérer les allocations non réclamées, explique notre sociologue. Mais la Caisse nationale a refusé.» La chasse aux fraudeurs, c'est beaucoup plus porteur.

Isabelle Barré pour Le Canard Enchaîné



 

 

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31 décembre 2011 6 31 /12 /décembre /2011 17:52

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Au site http://www.syti.net se trouve l'intéressante note

que Sylvain Timsit a élaborée sur les « Dix Stratégies de Manipulation »

à travers les média. Nous la reproduisons ici.

Elle détaille l'éventail, depuis la stratégie de la distraction,

en passant par la stratégie de la dégradation jusqu'à maintenir le public

dans l'ignorance et la médiocrité.

 


 

1/ La stratégie de la distraction


Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.

La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique.

« Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. »

Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »


2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions


Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ».

On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.

Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté.

Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.


3/ La stratégie de la dégradation


Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans.

C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990.

Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.


4/ La stratégie du différé


Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur.

Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat.

D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite.

Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité.

Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.


5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge


La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental.

Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant.

Pourquoi ?

« Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ».

Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »


6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion


Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus.

De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…


7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise


Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.

« La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures.

Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »


8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité


Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…


9/ Remplacer la révolte par la culpabilité


Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts.

Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action.

Et sans action, pas de révolution !…


10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes


Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes.

Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement.

Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même.

Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

 

 

Pour lire encore: http://www.syti.net/Topics.html

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 06:07

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Les claviers d'ordinateurs renferment parfois plus de bactéries que les toilettes

D 'après une étude britannique commandée par le magazine Which Computing les claviers des ordinateurs renferment parfois plus de microbes et bactéries que des toilettes.

Le déroulement de l'étude

  • Pour les besoins de l'enquête, un biologiste a examiné, dans une entreprise londonienne, 33 claviers d'ordinateur, ainsi que le siège des toilettes et la poignée de portes des toilettes.
  • Parmi les claviers analysés, 4 pouvaient être dangereux pour la santé: Le scientifique qui a dirigé l'étude a même recommandé de ne plus utiliser l'un des claviers avant de l'avoir nettoyé, car sa teneur en bactéries était 150 fois supérieure à la limite maximum.


Moins dangereux de prendre son déjeuner aux toilettes que devant son ordinateur

  • Ces résultats sont inquiétants, d'autant que de nombreuses personnes mangent devant leur ordinateur, et incorporent donc ces bactéries dans leur alimentation.
  • Selon l'auteur de l'étude, il serait moins dangereux de prendre son déjeuner aux toilettes que devant son ordinateur.


Combien de personnes nettoient leur ordinateur ?

Selon une enquête menée auprès de 4.000 personnes :

  • 10% d'entre elles ne nettoieraient jamais leur souris, et 10 à 11% ne désinfecteraient jamais leur clavier.
  • 46% des personnes ne nettoient leur clavier qu'une fois par mois ou moins.


Les conseils

Pour une meilleure hygiène, il est conseillé de

  • Se laver souvent les mains
  • nettoyer régulièrement son clavier et sa souris : retourner le clavier et le secouer, pour extraire les particules qui s 'y seraient nichées.



Sources : Relaxnews

Réalisé en collaboration avec des professionnels de la santé et de la médecine, sous la direction du docteur Pierrick HORDE

Publi-information
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28 décembre 2011 3 28 /12 /décembre /2011 17:45

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amis-a-quatre-pattes-chat-chien.jpg 

 

 

Amis à quatre pattes et fins de mois difficiles ?


Nous avons tous parfois des soucis pour faire soigner nos animaux. Voici une liste de dispensaires vétérinaires dont des SPA qui pratiquent un tarif réduit. ATTENTION ! Certaines vous demanderont de vous munir de votre avis d'imposition et, en tout cas, d'un justificatif de domicile. Pour les personnes sans domicile fixe, leur cas est évidemment entendu. Ce serait valable pour deux animaux par foyer, à voir sur place.   

 

06- Dispensaires SPA - 17 bis avenue Maurice Jeanpierre 06110 LE CANNET ROCHEVILLE 04.93.69.92.95

13- Dispensaires SPA - 24 rue d'Eguison 13010 MARSEILLE 04.91.79.30.60

31- Dispensaires SPA - 4 rue l'Amandier 31000 TOULOUSE 05.34.60.15.15

38- Dispensaires SPA - 101 place des Géants 38000 GRENOBLE 04.76.09.43.67

44- Ecole Nationale Vétérinaire de Nantes 02.40.68.77.77

45- Dispensaires SPA - 38 bis rue du Poirier Rond 45000 ORLEANS 02.38.83.15.22

62- Dispensaire SPA - 11, rue Nicolas Leblanc 62800 - LIEVIN  03.21.45.25.55

66- Dispensaires SPA - 18 rue Deslinières 66000 PERPIGNAN 04.68.85.47.84

67- Refuge SPA de Strasbourg-Neudorf - 45 route du Rhin 67100 Strasbourg 03.88.34.67.67 membre de la CNSPA de France 

75- Dispensaires SPA - 8 rue Maître Albert 75005 PARIS 01.46.33.94.37

76- Dispensaires SPA - 66 rue Paul Foliot 76140 LE PETIT QUEVILLY 02.35.63.20.27

80- Dispensaires SPA - Rue des Aubivats 80260 POULAINVILLE 03.22.52.16.30

83- Dispensaires SPA - Le St André 44 rue Marc Baron 83000 TOULON

83- Vétérinaires pour tous - 47 av. Maréchal de Lattre de Tassigny - 83100 TOULON 04.94.31.50.50  

 

Liste des dispensaires SPA sur Seconde Chance  :

http://www.secondechance.org/page/dispensaires-spa

 

PAS une SPA des SPA ! D'autres refuges SPA membres de la Confédération Nationale des SPA de France à Lyon pratiquent aussi des tarifs au tiers pour aider les animaux des personnes démunies, et leur donnent des croquettes. Ces refuges n'ont pas forcément un vétérinaire salarié.  

CNSPA de France Tél. 04.78.38.71.85 et site Internet :   

http://www.lesspadefrance.org/

 

 

N'abandonnez pas demandez de l'aide ! Faites-le savoir ! Pas de Noël sur le carreau...   

Bien amicalement,

Unanimât,

Le 21 novembre 2011

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24 décembre 2011 6 24 /12 /décembre /2011 18:53

Information importante :

 

  • le "Faux gras" : le produit star de Gaïa, association de défense animale,  .../.... Se consommant comme du foie gras, il s’agit d’un pâté bio (AB), qui ne contient aucune protéine animale.

Developpement durable article

 

Fabriqué par l’allemand TARTEX, il contient : Levure alimentaire, eau, huile de palmiste (non hydrogénée), amidon de pomme de terre, pulpe de tomates, champagne (2%); huile de tournesol, sel marin, extrait de levure, truffe (0,5%), épices (0,18% : coriandre, cannelle, clous de girofle), sel gout fumé.

 

 

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24 décembre 2011 6 24 /12 /décembre /2011 17:45

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Claire Le Nestour
étudiante en journalisme


Un mannequin, The Alternative Hair show, Londres, le 26 octobre 2011 (Olivia Harris/Reuters)

Un acheteur déniché sur Internet, quelques e-mails, des photos, un passage chez le coiffeur et une enveloppe. Emma, 30 ans, a gagné 50 euros en vendant l'an dernier une tresse de 60 cm.

« Mes cheveux sont de très bonne qualité et je trouvais ça dommage de les jeter une fois coupés. J'aurais préféré les savoir utiles à quelqu'un. L'argent m'a décidée à passer le pas. »

Comme elle, des dizaines de femmes (et quelques hommes) vont sur le Web et proposent de vendre des mèches de 20 à 80 cm sur les forums. Certains cherchent à donner une utilité à leurs cheveux, d'autres font explicitement état de leur besoin d'argent.

La mère de Cosette n'est pas la seule à avoir dû vendre sa chevelure. Chez nos voisins espagnols, ce commerce est institutionnalisé.

 

 

 


 

 

Face à la crise, les espagnoles vendent leurs cheveux.

(AFP)

 

En France, quelques négociants et salons de coiffure ayant pignon sur rue offrent aussi d'acheter des mèches.

Vendre ses cheveux, légal ou illégal ?

La question qui se pose est celle de la légalité de la pratique. L'article 16-1 du code civil dispose que :

« Le corps humain, ses éléments et ses produits ne peuvent faire l'objet d'un droit patrimonial. »

On ne peut pas vendre un morceau de peau décoré d'un tatouage, par exemple. Mais quid des cheveux ? Pour Anne-Laure Morin, avocate spécialisée en droit de la recherche biomédicale :

« Les tissus et éléments qui se détachent naturellement du corps ont un statut particulier. Leur vente, après valorisation, est autorisée. »

Un décret de 1995 prévoit explicitement que les cheveux, les poils, les ongles et les dents échappent aux dispositions légales interdisant de prélever des éléments de son corps pour les vendre.

Selon l'avocate Anne-Marie Regnoux, spécialisée en droit de la santé :

« La vente de cheveux, assimilée à un contrat de vente mobilière, n'est pas soumise au principe de “non-commercialité” car les cheveux sont assimilés à des déchets naturels. »

Extensions, postiches ou fétichistes

Qui sont les acheteurs ? La plupart des cheveux commercialisés servent à la fabrication de poupées ou de perruques. En France, Any d'Avray est une des leader du marché des perruques médicales. Cela fait quinze ans qu'elle reçoit des cheveux :

« La majorité des personnes viennent pour un don. Mais chaque mois nous accueillons une vingtaine de personnes qui les vendent. Les demandes sont bien plus élevées mais on fait une sélection sur la qualité et la beauté du cheveu. »

Depuis quelques années, la mode des extensions a également dopé le marché. De nombreux salons cherchent à se procurer des mèches qu'ils pourront traiter (ou faire traiter) puis fixer à la racine de leurs clientes.

Autres utilisations plus marginales : des artistes sont à la recherche de cheveux à intégrer à leurs productions et des particuliers veulent rallonger ou épaissir leurs « dreadlocks » en y ajoutant une poignée de cheveux naturels.

Sur les forums, certains mettent aussi en garde contre des fétichistes se faisant passer pour des professionnels de la coiffure pour se procurer la chevelure des femmes.

« Il m'a conseillé de les vendre, je les ai donnés »

En 2009, Marie – le prénom a été changé –, 21 ans, cherchait elle aussi un acheteur pour ses 25 cm de cheveux bruns.

« Mon coiffeur avait du mal à me couper les cheveux tellement il les trouvait jolis. Il m'a alors conseillé de les vendre. »

Après quelques messages sur Internet, elle a opté pour un don à une association basée en Amérique du Nord. Locks of love fabrique des perruques pour des enfants malades.

« Ma mère a eu un cancer quand j'avais 8 ans. Cela m'a tellement choqué de la voir sans cheveux, que je me suis dit, si ça peut aider des petites filles ou garçons à vivre un peu mieux leur maladie, pourquoi pas ? »

Emma a donc confié ses cheveux à une amie qui les a postés depuis New York, quitte à renoncer à son pécule.

Combien ça rapporte ?

Le prix des cheveux varie considérablement d'un acheteur à l'autre. Un internaute propose « entre 0,75 et 2 euros le centimètre ». Un autre propose un prix plus élevé, « entre 70 et 200 euros pour 50 cm. »

Any d'Evray peut rémunérer jusqu'à 100 euros pour 30 cm de « beaux cheveux ».

Tous les acheteurs exigent une ou plusieurs photos avant de s'engager sur une somme. Car en matière de cheveux, il y a des échelles de valeurs. Tout dépend de leur longueur, leur épaisseur, des produits utilisés pour leur entretien, du soin qui leur est accordé... Un vendeur non fumeur se verra proposé un prix plus élevé. Celui qui a les cheveux clairs aussi.

Car ce qui fait le prix du cheveu européen, c'est avant tout sa rareté.

De l'Inde aux salons parisiens

En France, la plupart des cheveux vendus (aux alentours de 6 euros la mèche pour les extensions) viennent d'Inde.

De nombreux hindous se rasent la tête après le décès d'un proche. Beaucoup se tondent aussi par dévotion pour présenter leur crâne chauve aux divinités. Des businessmen ont compris le filon et se sont lancés dans l'export de ces longs cheveux noirs. Au temple de Tirumala Tirupati dans l'Andra Pradesh, près d'une tonne de cheveux sont collectés chaque jour.

Il y a quelques années, une équipe d'« Envoyé spécial » a retracé la route du cheveu, de l'Inde aux grands salons de coiffures occidentaux.

 

 

 

 

 

Le « problème » pour les négociants, c'est qu'il faut les traiter longuement pour les décolorer puis les re-colorer suivant les teintes recherchées par les clients européens.

 

 

 

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23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 18:26

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Publié le 22 décembre

Traduction d’un texte parut sur le site coun­ter­punch en décem­bre 2010 The French State Prepares for Class War. Dans lequel on reparle ou on a parlé du tris­te­ment célè­bre par­cage [ket­tling en anglais] de la place Bellecour.

 

« Ramener la guerre sur le front inté­rieur ». C’est un slogan entendu durant toute la période de la guerre au Vietnam. Une for­mule gagnante, du moins tem­po­rai­re­ment dans ce qu’elle expri­mait et ren­for­çait la com­ba­ti­vité de ceux et celles qui contes­taient la guerre. L’idée étant que mou­ve­ment anti-guerre devait obli­ger les États-Unis et les autres pays occi­den­taux indus­tria­li­sés à confron­ter en miroir leurs actions impé­ria­lis­tes à l’étranger.


En France, cette idée prend un tour sur­pre­nant, la guerre est rame­née sur le front inté­rieur par le pré­si­dent lui-même.


La pro­pen­sion à des­cen­dre dans la rue pour com­bat­tre les ins­ti­tu­tions oppres­si­ves fait partie d’une longue tra­di­tion poli­ti­que fran­çaise. C’est encore le cas, mais par ailleurs la répres­sion de l’État fait aussi partie de cette tra­di­tion.

 

L’his­toire est ponc­tuée de révol­tes et de révo­lu­tions, sui­vies de l’écrasement san­glant des mou­ve­ments popu­lai­res. Il faut se sou­ve­nir de 1789, de 1830, de 1848, de la Commune de 1871 et de 1936. Sans oublier les opé­ra­tions mili­tai­res de « paci­fi­ca­tion » géno­ci­dai­res per­pé­trées contre les popu­la­tions en Indochine, en Algérie, au Maroc et à Madagascar, qui ont fait des émules parmi d’autres États impé­ria­lis­tes, les États-Unis en tête.

 

Dans un pays comme la France, qua­li­fié de « labo­ra­toire poli­ti­que du monde » par Karl Marx, le gou­ver­ne­ment fran­çais actuel met les bou­chées dou­bles pour mettre en place un « État poli­cier » dans lequel les forces de répres­sion ne sont pas seu­le­ment cen­tra­li­sées, mais mili­ta­ri­sées au sens strict du terme.

 

L’État per­fec­tionne le pou­voir poli­cier en gérant les « per­tur­ba­tions civi­les » par la mili­ta­ri­sa­tion du contrôle de la popu­la­tion.

La suite à lire sur : http://divergences.be/spip.php?article2772

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23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 18:14

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22/12/2011 | 12H22

Crédits photo:  (Shutterstock)

Deux ans après ses recommandations visant à améliorer la gestion des fichiers de police, la mission d’information parlementaire conduite par Delphine Batho et Jacques-Alain Bénisti rend un nouveau rapport. Ils constatent des progrès très limités.

 

Députés devenus spécialistes des fichiers de police depuis leur premier rapport sur le sujet publié en 2009, Jacques-Alain Bénisti et Delphine Batho approfondissent leur travail dans une nouvelle étude rendue publique mercredi.

Le député UMP du Val-de-Marne et la députée PS des Deux-Sèvres regrettent que l’immense majorité de leurs 61 recommandations n’aient pas été suivies d’effets. Si l’ensemble du rapport représente une mine d’informations - réformes législatives en cours, détails sur chacun des fichiers recensés - nous avons choisi d’isoler quelques données essentielles qui restent peu connues.

 

 

80 fichiers de police

 

La mission parlementaire recense 80 fichiers de police en France fin 2011, dont 62 effectivement utilisés.

Il y a deux ans, Delphine Batho et Jacques-Alain Bénisti arrivaient au total de 58 fichiers de police.

Ils constatent aujourd’hui : “L’augmentation du nombre de fichiers utilisés par rapport à 2009 est principalement imputable à la découverte de fichiers qui existaient déjà à cette date, mais dont l’existence n’avait pas été portée à la connaissance de la mission d’information, malgré ses demandes.” En mai, Owni en comptait 70.

 

 

45% sans base légale

 

Presque la moitié des fichiers de police existants n’ont aucune base légale. “Parmi les fichiers actuellement utilisés, 28 n’ont fait l’objet ni d’une déclaration à la Cnil, ni d’un texte législatif ou réglementaire, soit 45 % des fichiers utilisés.

 


 

 

Le rapport précise toutefois que 86% des fichiers actuellement utilisés de façon illégale doivent faire, dans un avenir proche, l’objet d’un texte réglementaire et d’une déclaration à la Cnil. Ouf, si c’est prévu...

 

 

44,5 millions de Français fichés au Stic

 

Le fichier des antécédents judiciaires de la police nationale, le Stic (Système de traitement des infractions constatées), poursuit sa croissance.

Alors qu’il comportait, en 2009 3,96 millions de fiches de personnes mises en cause et 28 millions de fiches relatives à des victimes d’infraction, il recensait, au 1er novembre 2011, 6,5 millions de mis en cause et 38 millions de victimes.

 


 

Le 20 janvier 2009, la CNIL a remis un rapport sur le fichier STIC. Seules 17 % des fiches de personnes comportaient des informations tout à fait exactes.

 


1,79 million de profils génétiques


Le fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG) est passé de 806 356 profils génétiques en 2008 à 1,79 million en novembre 2011. C’est-à-dire qu’il a plus que doublé de volume en trois ans.


 

 

Un an d’attente à la Cnil

 

Tout citoyen peut faire appel à la Cnil pour obtenir les données le concernant dans les fichiers de police.

En 2010, 2796 demandes de droit d’accès aux fichiers d’antécédents judiciaires STIC et JUDEX étaient encore en cours de traitement.

 


 

 

Parmi ces demandes, une centaine résulte d’ailleurs de saisines antérieures à 2007.

De façon générale, la CNIL évalue le délai moyen de réponse à un an lorsque la personne est effectivement inscrite dans un fichier d’antécédents.


Camille Polloni

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