Alerte PMAF du 23 juillet 2008
Monsieur l'Ambassadeur,
L'Australie exporte chaque année plusieurs millions d'animaux destinés à la boucherie, transportés vivants par route et par mer dans des conditions indignes.
Embarqués pour d'interminables voyages en mer vers les abattoirs du Moyen-Orient, des centaines de milliers de moutons australiens endurent la soif, la chaleur et l'épuisement dans des cargos surchargés pouvant contenir jusqu'à 100 000 animaux. A leur arrivée dans des pays où les animaux ne disposent généralement d'aucune protection légale, ils sont souvent manipulés et abattus dans des conditions terrifiantes.
L'Australie dispose pourtant d'un arsenal législatif conséquent en matière de protection animale. Aussi, je suis scandalisé(e) qu'un nombre aussi considérable d'animaux australiens puissent être légalement soumis à de tels traitements.
Je compte sur le gouvernement Australien pour mettre un terme à ce trafic d'un autre âge, en développant par exemple le transport réfrigéré de carcasses d'animaux abattus localement.
Je vous prie de croire, Monsieur l'Ambassadeur, à l'assurance de ma vigilance sur ce grave problème, et de ma gratitude pour ce que vous pourrez faire.
Chers amis,
Savez-vous que l’Australie exporte chaque année plusieurs millions d’animaux destinés à la boucherie ? Ils sont transportés vivants par route et par mer dans des conditions indignes que la
Protection mondiale des animaux de ferme combat depuis toujours.
Embarqués pour d’interminables voyages en mer vers les abattoirs du Moyen-Orient, des centaines de milliers de moutons australiens endurent la soif, la chaleur et l’épuisement dans des cargos
surchargés pouvant contenir jusqu’à 100 000 animaux. A leur arrivée dans des pays où les animaux ne disposent généralement d’aucune protection légale, ils sont souvent manipulés et abattus
dans des conditions terrifiantes.
Dans le cadre de la campagne internationale « Handle with care » (« attention fragile ») coordonnée par la Société mondiale de protection des animaux (WSPA), nous
vous invitons à interpeller l’Ambassadeur d’Australie en France sur ce grave problème en signant la lettre
ci-contre à droite.
Merci de tout coeur pour ce que vous pourrez faire pour ces animaux !
1 - Il est d'abord conseillé de ne pas lui donner à boire de force : en effet, il existe deux orifices au fond du bec, dont un seul correspond à l'œsophage. Si jamais le liquide est rentré dans
le mauvais trou, on entend une sorte de ronflement et des bulles peuvent même sortir des narines : c'est alors très mauvais signe…
2 - La nourriture à lui donner est la pâtée pour insectivores que l'on peut trouver dans les animaleries (plusieurs fois par jour), des vers de farine ou mieux de la pâtée pour chat qui semble
plus équilibrée. Une autre excellente nourriture sont les croquettes pour chat, préalablement trempées dans de l'eau tiède pour les ramollir. Il ne faut surtout pas donner de pain trempé dans le
lait.
3 - Essayez de remettre l'oiseau le plus vite possible près du nid d'où il est tombé (s'il n'y a pas trop de chats). Il faut le remettre en hauteur, par exemple sur un carton ouvert : les parents
pourront venir le nourrir. Mais faites toujours attention aux chats!
En cas de besoin, vous pouvez contacter un Centre de Sauvegarde de la Faune Sauvage, notamment si
l'oiseau est blessé. Pensez d'ores et déjà au vétérinaire le plus proche, qui pourra peut-être donner les premiers soins.
Elever un jeune oiseau pour le relâcher après ne présente que peu de chances de succès. Le jeune oiseau mis au contact de l'homme n'est pas bien prêt à affronter la vie sauvage.
Les rapaces
Les rapaces nocturnes
Les replacer sur une branche assez haute, à l'abri des prédateurs, pour qu'ils puissent à nouveau être nourris par leurs parents.
Les rapaces diurnes
Si le nid est accessible sans dérangement et est occupé, y replacer doucement l'oiseau. Sinon, contacter au plus vite un centre de soins.
Les autres oiseaux
Oisillons peu emplumés ou en duvet
Si le nid est en bon état et accessible sans dérangement, replacer l'oiseau dedans ; sinon, essayez d'en créer un autre au même endroit (à un ou deux mètres maximum).
Oisillons bien emplumés
Pour certaines espèces, il est normal de quitter le nid avant de savoir voler : c'est le cas des merles, des grives et des étourneaux...
Si l'oiseau vous paraît particulièrement en danger, posez-le à l'abri des prédateurs, dans un buisson par exemple. Pour d'autres espèces, il se peut que l'oisillon ait quitté son nid un peu trop
tôt. Tentez de l'y déposer, toujours sans dérangement pour les autres occupants du nid.
Enfin, un jeune oiseau vu en difficulté en dehors du nid peut très bien avoir été abandonné par ses parents. Malade ou handicapé, ses chances de survie sont très minces. Ne remettez pas cet
oiseau dans le nid, il ne sera toujours pas accepté par ses parents qui risquent en conséquence de fuir le nid.
Le 22 septembre prochain, très bientôt ! aura de nouveau lieu à Algemesi (province de
Valence, Espagne) un spectacle "traditionnel" d'un extrême sadisme envers des animaux innocents. Comme chaque année, de nombreux bébés veaux seront pourchassés à travers les rues par la populace
qui les lardera de coups avec des pointes de lance de 6 à 8 cm. Des témoins disent que c'est un déchirement d'entendre leurs hurlements de douleur tandis qu'ils sont ainsi torturés et essayent
vainement d'éviter les coups. Quand ils sont trop épuisés, qu'ils pissent le sang et s'effondrent à terre, ils sont achevés à l'aide d'une épée de 80 cm de long, et peuvent encore être frappés
jusqu'à 40 fois. Des milliers de personnes participent à cette "fête" et de nombreux très jeunes enfants assistent à la torture et au massacre public.
Merci pour ces veaux
--------------------------------------------------------------------
Lettre à envoyer Voici les adresses :
portal.presidencia@mpr.es, ajuntament@algemesi.net, sministr@mapa.es, dgp@gva.es, ambespfr@mail.mae.es
Objet : Presidente José Luis Rodríguez Zapatero M. Emilio Gregori
Voici la lettre :
*****************************************************
Señor Presidente,
Son intolerables todas esas atroces imagenes llegando continuamente desde su pais sobre las numerosas torturas en contra desgraciados animales inocentes Haciendo
parte de los 27 paises de la Comunidad europea, se haria olvidado La Grande España que eso es inconcebible que persigue tal "tradicion" barbara torturando becerros hacia la muerte y eso por manos
de centenas de adultos y hijos? No es la realidad de tal practica ejemplo de un pais evolucionado y que se merece estima por parte de todos los que respetan a la VIDA en general Eso sera el
mensaje que enviamos: No visitaremos España hasta que se deje de torturar animales en las fiestas populares. España debe salir de la Edad Media y acabar de una vez con el sadismo hacia los
inocentes animales. Deseamos todos que este mensaje sea leido y entendido por ser muy degradante por su pais que padres animando tales crueldades publicas se dedican con pervertiendo la etica que
tiene que transmitirse a sus hijos Señor Presidente, recibe nuestros cordiales saludos,
Nom Prénom Ville Code postal Pays
******************************************************
Traduction de cette lettre :
Monsieur le Président,
Les images atroces qui nous parviennent, continuellement de votre pays, sur les nombreuses tortures exercées envers de malheureux animaux innocents sont
intolérables. La Grande Espagne a-t-elle oubliée que, faisant partie des 27 pays représentant la Communauté Européenne, il est inconcevable pour les autres Nations de voir perdurer cette «
tradition » barbare telle que torturer des veaux, encore bébés, jusqu'à mort s'ensuive, par des centaines d'adultes et d'enfants ? Que l'existence d'une telle pratique n'est pas l'exemple d'une
Espagne évoluée et digne d'estime pour toutes celles et tous ceux qui respectent la VIE dans sa généralité ? Voici le message que nous vous adressons : Nous ne visiterons pas l'Espagne tant que
des animaux y seront torturés dans les "fiestas". L'Espagne doit quitter le Moyen Age et arrêter le sadisme envers les animaux. Nous espérons, vivement, au Nom de ces victimes livrées à
l'immoralité de votre peuple, que ce message sera lu et compris, car il est dégradant pour l'Espagne que des parents, encourageant ces cruautés exercées en public, pervertissent l'éthique à
transmettre à leurs enfants. Nous vous prions de croire, Monsieur le Président, à l'expression de notre très haute considération.
Allergique aux œufs...de batterie ?
Si la souffrance animale vous donne des boutons, vous êtes très certainement allergique aux œufs... de batterie !
Pour ne plus contribuer sans le savoir à l'élevage en batterie, choisissons uniquement des « œufs de poules élevées en plein air ».
Ce guide vous aidera à décrypter facilement le type d'élevage afin d'éviter les œufs de poules détenues à vie dans de minuscules cages de batteries.
Merci de votre vigilance !
Opération nom de code "3" : un chiffre à bannir
En cas de doute :
LIRE LE CHIFFRE IMPRIMÉ SUR L’OEUF AVANT LES LETTRES FR (généralement le 1er chiffre du code).
Il vous dira tout sur les conditions de vie de la poule qui l'a pondu.
Caractère imprimé sur l'œuf avant les lettres FR
|
Traduction et mention obligatoire sur la boîte
|
0
|
œufs de poules élevées en plein air (agriculture biologique)
|
1
|
œufs de poules élevées en plein air
|
2
|
œufs de poules élevées au sol
|
3
|
œufs de poules élevées en cage
|
Apporte les garanties de l'œuf de plein air, avec en plus :
Les poules en cage souffrent d'entassement, de stress, de fractures.
LES ŒUFS DE BATTERIE : A EVITER, A TOUT PRIX
Les œufs datés, œufs extra frais... ou les mentions fantaisistes telles que « œufs bien de chez nous » illustrées de paysages champêtres...
...n'illustrent en RIEN la vie des poules qui les ont pondus.
Au contraire, ces stratagèmes commerciaux visent à vous faire oublier la réalité de l'élevage en batterie.
On associe à tort vente en vrac et « petit élevage de plein air ».
Si vous achetez vos œufs au marché ou sur les étals des supermarchés, assurez-vous toujours de leur provenance.
Les biscuits, gâteaux, pâtes aux œufs... renferment généralement des œufs de batterie. Accordez votre préférence :
Consomm'acteurs, à vos plumes !
Incitez votre supermarché à abandonner la vente d'œufs de batterie. D'autres pays l'ont déjà fait !
Adressez-vous aussi aux fabricants de produits aux œufs : invitez-les à se tourner vers les œufs de plein air.