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Pourquoi je ne supporte plus cette société et
pourquoi je suis devenu Activiste par Anonyme ?
Dans la chaîne trophique, l’Homme à l’ego boursouflé, est le plus inférieur ainsi
que le plus fragile de tous les animaux. Dernier arrivé sur cette terre, immense destructeur, car la Nature n’a pas besoin de lui et fonctionne admirablement bien sans lui, il dépend
« activement » de toutes les interactions biologiques. Il est l’objet fragile de TOUTES les interactions du monde animal qui elles-mêmes sont en lien avec TOUTES les interactions du
monde végétal. Prétentieux ainsi qu’avide, l’Homme s’imagine pouvoir faire la loi là où des lois naturelles --- qui lui échapperont toujours ---, le détruiront avant qu’ils n’en
comprennent les simples tenants ainsi que les simples aboutissants. Il détruit la Mère Nature car il est dans l’envie de sa puissance (selon le concept de M. Klein) ; mais, cette nature
lui portera la mort avant qu’il n’en maîtrise l’alpha. L’Homme appartient à la Nature, la Nature n’appartient pas à l’Homme. L’Homme est une erreur de fond de la théorie darwinienne et n’a pas
sa place sur cette terre.
C’est une scorie, un parasite, du pus, un
abcès, du prurit, une verrue cellulaire, un cancer émotionnel, un prédateur névrotique.
Sous prétexte de Culture l’Homme détruit ses racines les plus subtiles, son lien
« simple » à la terre, ses fondements les plus puissants ainsi que les plus archaïques, au sens anté-historique du terme. C’est pourquoi, je souhaite sa destruction ainsi que son
éradication. Cet homme-là ne me plaît pas, ne m’intéresse pas en tant que frère de lien. Quand l’Homme respectera le végétal et l’animal, je le respecterai ; en attendant, cet individu ne
m’intéresse plus. Je préfère l’odeur putréfiée des bois que la puanteur infecte de l’Homme ; je préfère mes interactions avec le monde animalier vivant que cet Homme mort-vivant car
désincarné de tout coeur et tellement vide de sens… Voilà pourquoi je défends la cause animale, par haine de l’Homme autant que par admiration pour un monde vivant dont les scientifiques
découvrent encore et encore chaque jour des fonctionnements autant que bien des mystères…
Encore être envahi par l'étonnement comme un enfant peut être magiquement envahi
par les étoiles du ciel...
Voilà pourquoi je suis Activiste et Cyber-Activiste animalier.
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Sur terre TOUT dysfonctionne. Pourri de la partie la plus basse de la pyramide jusqu'à son sommet. Au-delà, des centaines
d'humains merveilleux se battent comme ils peuvent pour tenter de ré-équilibrer cette insigne violence...
Cet Homme-là, je suis en lien avec, celui qui se bat contre la destructivité; cet-Homme-là, je me bats avec lui et je suis à
ses côtés.
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Relation à l'animal et au vivant : protection animale et stratégies
diverses
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Les particuliers qui ont un animal, l’aime-t-il, ou le martyrise-t-il ?;
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Bien souvent, des particuliers achètent un animal comme « passe-temps » ou comme « divertissement » et non dans une
relation d’affection ou d’amour ;
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S’il advient un bébé dans la famille, la maman change de jouet et « jette » l’animal qui a servi à sa compensation
névrotique passagère. Alors on le cloître sur une terrasse, dans une cave, on ne le promène plus, on ne le nourrit plus, on ne l’abreuve plus, on le laisse lentement mourir, on l’abandonne
sur une route ou bien on le fait euthanasier, le jouet a fait son temps. En tant que psychanalyste, je peux affirmer que comme elle change de relation d’objet dans un non-respect à la
vie, elle fera exactement la même chose avec son enfant plus tard, s’il s’avère qu’elle imagine que son enfant l’ennuie à un moment ou à un autre… La névrose se déplaçant dans la
relation objectale. Par ailleurs, dans le respect de la vie, je ne vois pas en quoi la vie d’un bébé est plus importante que celle d’un chien ? Ils ont chacun une place affective.
Différente, certes, mais aussi importante dans le contexte du respect à TOUTE vie… sur cette terre ;
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Je ne vois pas en quoi la mort de 200.000 personnes, suite à un tremblement de terre est plus triste ou plus dramatique que l’extinction
d’une espèce animale non humaine ? La vie sur cette terre est une espèce de grand laboratoire et la mort frappe partout à travers des catastrophes naturelles, elle l’a toujours fait et
elle le fera toujours. 200.000 Hommes en plus ou en moins ne changent rien à l’affaire. Bien sûr, on ne souhaite pas la mort aux personnes mais comment puis-je être en empathie avec 200.000
personnes que je ne connais pas et avec lesquelles je n’ai eu aucun rapport affectif ? Les JT nous gavent de ces informations dont on a rien à faire et que de toute façon on ne peut
gérer tant matériellement qu’émotionnellement. La solidarité, à ce stade, est du mensonge. On ne saurait être solidaire avec le monde entier même s’il est mieux de se sentir « citoyen du
monde » conscient dans un rapport à la vie qu’indivis dans son fauteuil, télécommande en main… Etre « citoyen du monde » conscient dans son rapport à l’univers, c’est un état
d’esprit permanent, c’est être en lien avec la nature ainsi qu’avec toute vie sur cette terre ; et c’est loin que de croire se déculpabiliser en versant 2 euros à une fondation parce
qu’il y a eu un drame à l’un ou à l’autre endroit du monde. Ingérable, bien sûr ! L'aumône judéo-chrétienne est faite...
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Je préconise par la loi l’instauration légale d’un permis de capacité émotionnelle à détenir un animal ;
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L’animal n’est pas un produit de consommation comme des cigarettes, quelques bières, un nouveau dvd, pour compenser le temps aux personnes
qui s’ennuient : c’est un être vivant avec des besoins physiologiques, affectifs, émotionnels et médicaux. Les animaux souffrent jusqu’à se laisser mourir de la perte à l’attachement.
Beaucoup d’animaux sont plus intelligents que l’homme. Beaucoup d’animaux possèdent des facultés intuitives ou bien physiologiques bien supérieures à l’Homme et que l’homme ne connaît pas
encore scientifiquement ;
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Recenser et détecter les laboratoires d’expérimentation ;
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Surveiller les conditions de transports de tous types d’animaux (volailles,
bestiaux, chevaux, autres…) ;
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Surveiller les cirques de nos régions ;
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Recenser et détecter les éleveurs pour la fourrure ;
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Surveiller les éleveurs de chiens et de chats, certains font un beau travail ; d’autres, exploitent et martyrisent les femelles
jusqu’à l’épuisement physiologique pour la reproduction ;
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Les fêtes de village qui maltraitent les animaux par tradition populaire… ;
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Les Etats massacrent les animaux en lien avec des "cultures" batârdes ainsi qu'encestrales et ils
osent parler de "culturisation ?"
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Autres…
Dégâts matériels à occasionner :
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Les fabricants de matériel d’expérimentation ;
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Les fabricants de cages pour laboratoire d’expérimentation ;
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Il n’est pas utile de tagger les volets des bouchers, ils n’en peuvent rien et de toute façon ils ne vont rien comprendre en tant que
derniers maillons de la chaîne. Ce n’est pas cela qui va aider les animaux maltraités. Ce sont des actes symboliques et naïfs sans intérêts ;
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Libérer les animaux en sachant par avance où les placer et engendrer des dégâts matériels à ces exploitants, jusqu’à la faillite de leurs
entreprises ;
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L’Homme ne respectant rien si ce n’est que son seul profit, j’estime que le niveau de violence vis-à-vis du monde animal a atteint la
limite de l’insupportable et marque horriblement la dégénérescence tant que la décadence d’une société dite « moderne » (on se croirait propulsé plusieurs siècles en arrière tant
notre société est devenue infernale autant qu’abjecte) ; que plus aucune forme d’éducation ou bien de pédagogie, eu égard au niveau tant à la différenciation de la barbarie, de la
cruauté envers les animaux-humains ou non humains. Que seuls des actions ou des peines exemplaires ainsi que sans détours doivent remplacer les discours hypocrites, mensongers ambiants et
faisant l’aune ainsi que le modèle d’une société entièrement en perdition de toutes valeurs éthiques ou permettant un quelconque progrès humain. D'un point de vue psychopathologique, la
violence sur les animaux est un déplacement de la violence future et potentielle de l'Homme sur l'Homme. Un méfait sur un animal NON puni est "une main" dans le rouage de la barbarie de
l'Homme sur l'Homme.
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Boycotts absolus des Etats-Bandits par le biais économique avec lettres "d'insultes polies" aux irresponsables de ces pays;
Postulat :
Nous vivons dans un monde de violence infecte, de barbarie ainsi que de cruauté totale. Une seule valeur, l’argent ! Et ce, protégé par
le Pouvoir ainsi qu'une justice corrompue se trouvant être elle-même à la solde du pouvoir : à un moment donné, il est totalement naïf de s'imaginer que tous les discours dit
"culturels" ou "pacifistes" qui devraient permettre de faire grandir l’Homme vont permettre d'endiguer cette violence...
A un moment donné, on est tous tellement manipulé par le pouvoir que pour faire bouger les choses, la violence appelle la
contre-violence car c'est l'unique solution quand on a tout essayé. Cette société nous manipule : quand un pédophile viole et encule un bébé, il faut lui faut une leçon à la hauteur de
son méfait et non le mettre en prison avec tout le confort et TV plasma, soit avec sursis, soit libéré 2 ans après. Quand des gens martyrisent des animaux à coups de machette ou bien coupent
les 4 pattes d'un chien ou d'un chat à la hache, il leur faut une leçon à la hauteur de leurs méfaits. Ce sont sur le plan clinique, des psychopathes et pensez-vous que 250 euros d'amende et 3
mois de prison vont éduquer pédagogiquement un psychopathe ? Non il recommencera dès sa sortie de prison, s'il en fait..., puisque la « justice » corrompue est récupérée par cette
société à la solde du fric.
Un moment les discours représentent du vent, il faut de l'action mais l'homme "moderne" est-il frileux ?
Si vous imaginez soigner la laideur par du bla-bla, je ne peux que vous laisser à votre naïveté... J’adhère à quelques pensées ; et, ces
auteurs ne sont pas n’importe lesquels :
« Il vient une heure où protester ne suffit plus. Après la philosophie il faut l’action, la vive
force achève ce que l’idée a ébauché. » Victor Hugo
« Toute société qui n'insiste pas sur le respect de toute vie doit
nécessairement aller en diminuant. »
Albert Einstein
«L'une des choses les plus dangereuses qui puissent arriver à un enfant est de tuer ou de torturer
un animal et s'en tirer sans punition pédagogique. » Margaret Meade,
anthropologue.
« L'exposition à des violences sur les animaux mènera à la fabrication de tueurs en série. » « On juge la valeur d’une nation à la façon dont elle
traite ses animaux. » Ghandi
« L’homme moderne a perdu contact avec lui-même, avec autrui et avec la nature. Transformé en marchandise, il
éprouve ses forces vitales comme un investissement dont il doit tirer le maximum du profit possible en rapport avec les conditions du marché. Les rapports humains sont essentiellement des
rapports entre automates aliénés, chacun assurant sa sécurité en s’efforçant de rester proche de la foule et de ne pas s’en distinguer en pensée, sentiment ou action. Dès lors, chacun reste
absolument seul, en proie à l’insécurité, l’angoisse et la culpabilité, tous sentiments inéluctables lorsque l’on ne parvient pas à surmonter la solitude humaine. »
Erich Fromm, "L’art d’aimer", ouvrage de psychanalyse issu du courant humaniste
Anonyme, Activiste-Cyber-Activiste.