Le “facteur burck” en français ou “yuck factor” en anglais

désigne le refus par des individus

de boire de l’eau potable provenant…

La réponse est : d’eaux usées.

1 question par jour pour la planète :

http://www.greenquizz.org/G/index.php

Le 5ème forum de l’eau d’est déroulé à Istabul du 16 au 22 mars 2009.

Plusieurs sujets ont été abordés, notamment le recyclage de l’eau qui constituerait une réponse à sa pénurie.

Par exemple, pourquoi ne pas recycler nos eaux usées ?

Cette technique est moins gourmande en énergie et moins chère que le dessalement (un m3 d’eau potable coûte 70 centimes à partir d’eau de mer et 45 centimes à partir d’eau usée, en partant de la station d’épuration).

Une idée intelligente et presque évidente ! Alors, pourquoi personne n’y a pensé jusqu’à maintenant ?

Parce que « Les gens détestent imaginer qu’ils boivent de l’eau qui a pu être de l’eau d’égouts », comme le dit Gérard Payen, membre du Conseil consultatif pour l’eau et l’assainissement auprès du Secrétaire général de l’ONU.

A tel point qu’il y a trois ans en Australie, pays où sévit régulièrement la sécheresse, les habitants de Toowoomba ont rejeté par référendum, à 60 %, l’idée de boire leurs propres eaux usées.

Ce dégoût, c’est ce qu’on appelle le “facteur beurk”.

Il ne s’agit que d’une barrière psychologique pas très fondée, puisqu’aujourd’hui, on peut techniquement recycler les eaux usées pour en faire de l’eau tout à fait potable.

C’est déjà le cas ailleurs dans le monde, comme à Singapour, où l’eau recyclée sert pour l’industrie et pour la consommation humaine.

En Europe, la technique est déjà utilisée dans l’industrie ou l’irrigation mais elle n’atteint pas encore nos robinets.

Ce n’est sans doute qu’une question de temps avant que le facteur “beurk” s’estompe.

Surtout que plusieurs villes ont déjà trouvé une solution au problème en ajoutant une étape supplémentaire : réinjecter l’eau traitée dans le milieu naturel (lac, rivière…) pour en affiner le traitement grâce aux écosystèmes. De quoi réduire les réticences des consommateurs qui considèrent cette eau comme issue d’un milieu plus “naturel”.

Sources / En savoir plus :

L’article de cyberpresse (daté du 18 .03.2009)

L’article du site developpementdurable.com (daté du 19.03.2009 )

je diffuse... je diffuse... je diffuse... je diffuse... je diffuse...

Je suis amenée à faire le prochain sauvetage

des lévriers d 'Espagne

avec l'association « PASSION LEVRIERS »

http://www.passionlevriers.com/

C'est pour cela je demande votre attention

afin de nous remettre

tout ce que vous juger inutile chez vous

et qui ferait la joie de nos lévriers, c'est à dire :

BESOINS URGENTS :

NOURRITURE POUR CHIENS ET POUR CHATS :

Croquettes, Boîtes, Patés, Friandises,Os à macher...

MATERIEL ANIMALIER et COUCHAGE :

Laisses, Colliers, Harnais, Jouets, Paniers, Niches,

Bacs à litière, Litières, Cages de transport,

Manteaux pour animaux,

Couvertures, Couettes, Draps, Serviettes de toilette...

MEDICAMENTS POUR ANIMAUX :

Pipettes anti puces et tiques,

Antibiotiques comme CLAMOXYL

pour humains, Bétadine rouge etjaune,

Pansements, Compresses, Bandes, Sparadraps,

Désinfectants et pommades pour plaies, Collerettes...

Produits pour soin et hygiène

(Shampoing, Brosses, Nettoyant yeux et oreilles...)

PRODUITS D'ENTRETIEN :

Eau de javel, Désinfectant tout type non allergène pour animaux),

Eponges, Serpillères, Sceaux, Brosses, Balais, Gants en plastique...

MATERIEL :

Tables pliantes petit format,

Placard de rangement (médicaments), Barrières en bois,

Vêtements et bottes caoutchouc toutes tailles homme et femme

pour nettoyage des chenils, refuges...

Merci pour nos lévriers et pour tous les bénévoles Espagnoles qui donnent beaucoup de leur temps et argent pour sauver ces pauvres lévriers martyrs d'Espagne...

Je compte sur vous pour votre générosité

pour donner de la joie à ces petits êtres

qui attendent derrière les barreaux.

Je peux me déplacer jusqu'à votre domicile

récupérer les dons

Dans la nuit de samedi à dimanche, nous allons tous avancer

nos pendules d’une heure.

Mais pourquoi change t’on d’heure deux fois par an ?

Cette histoire de changement d'heure ne s'est pas faîte

en une seule fois...

En 1911, la France adopte l'heure donnée par Greenwich, petite ville située près de Londres, où se trouve l'ancien Observatoire astronomique royal ; notre pays étant compris dans le même fuseau horaire que Greenwich.

En 1916, la France décide de rajouter une heure, par rapport à l'heure de Greenwich pendant les mois d'été pour faire des économies d'énergie.

Mais en 1940, la France, occupée par les Allemands, adopte l'heure de Berlin : il faut à cette époque rajouter deux heures en été sur l'heure de Greenwich et une heure en hiver.

Puis en 1945, on revient finalement à l'heure de 1916, en appliquant l'heure d'été pendant toute l'année ! Mais en 1973, le " choc pétrolier ", ainsi appelé car le prix du pétrole est multiplié par quatre, fait augmenter le prix de l'électricité.

Quel est le nom du paquebot écologique récemment dévoilé

par les chantiers STX ?

La réponse est : l’Eoseas

1 question par jour pour la planète :

http://www.greenquizz.org/G/index.php

à vous de jouer !!!

Lundi dernier STX Europe (anciens chantiers de l’Atlantique) a dévoilé simultanément au salon Seatrade de Miami et à Saint-Nazaire son nouveau projet  de construction d’un paquebot écologique : Eoseas. Le projet est issu du travail mené pendant plus de deux ans dans le cadre du programme Ecorizon.

Il s’agit d’un voilier de croisière à cinq coques mesurant 305 mètres de long et 60 mètres de large, et pouvant accueillir plus de 3000 passagers.

Ce projet de bateau est écologique car il permettrait d’économiser 50% de carburant avec pas moins de cinq coques et 12440 mètres carrés de voiles, mais également grâce à la centrale au gaz liquide naturel et d’une injection d’air sous la coque dont il sera équipé.

De plus, ce paquebot vert comportera 1000 mètres carrés de panneaux solaires fournissant entièrement l’électricité nécessaire à l’éclairage des cabines passagers.

Pour compléter son équipement soucieux de l’environnement, l’Eoseas sera équipé d’une centrale de retraitement des déchets organiques fournissant une puissance équivalente à celle des panneaux solaires.

Le lancement de la  construction  de ce “navire vert du futur” est prévu dans trois ans et sa commercialisation devrait débuter d’ici cinq ans avec un coût supérieur d’environ 30% par rapport à un paquebot classique mais ce surcoût devrait très vite être rentabilisé grâce aux économies de carburant.

Sources/En savoir plus :

L’article de Futura Sciences (avec une vidéo de présentation de l’Eoseas)

L’article sur Le Monde