Exigeons l’arrêt immédiat des nombreux réacteurs qui ont dépassé 30 ans de fonctionnement, durée pour laquelle ils ont été conçus.
Soutenons la Révolution des Hortensias des Japonais qui, plus que jamais, se mobilisent.
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SOUVENEZ-VOUS…
30 octobre 1980 : Coluche annonce officiellement sa candidature à l’élection présidentielle de mai
1981.
Il se fait leporte-parole des marginaux et des
exclus, le représentant de tous ceux « qui ne comptent pas pour les hommes politiques. »
Un
potentiel électoral énorme…
14 décembre 1980: il est crédité de 16% d’intentions de votes, soit plus de 2 français sur
10 ! Ce qui n’était qu’une farce au départ devient soudainement « très sérieux ».
Pour François Mitterand, la situation est dramatique car incontrôlable.
Pour le candidat sortant Valéry Giscard d’Estaing, Coluche est désormais devenu LE « candidat à abattre ! »
« Le comique le plus populaire de France va être interdit d’antenne pendant toute la durée de sa campagne ! »
Pressions, filatures, écoutes téléphoniques, dénonciations, menaces…vont se succéder sans réel succès.
Mais le meurtre de son régisseur va changer la donne.
6 avril 1981: après 5 mois de censure médiatique, de surveillance policière et de déstabilisation, Coluche annonce qu’il se retire de la course à l’Elysée.
10 mai 1981: François Mitterrand est élu Président de la République française.
MERCI QUI ?
Pas l’audiovisuel public à la botte du gouvernement !
Pas les sbyres de François Mitterrand !
Pas l’équipe choc des Renseignements Généraux !
Pas la police non plus qui laisse croire que…!
mais… on peut dire MERCI COLUCHE !!!!!!!!!!
Reportage diffusé sur M6 en avril 2001 dans l’émission « Secrets d’actualité« :
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Depuis une semaine, plus de 500 gendarmes sont mobilisés en vue d'expulser les opposants au projet d'aéroport situé à Notre-Dame des Landes (44).
Ce coup de force est inacceptable.
Alors que :
est-il bien raisonnable d’investir plus de 250 millions d’euros d’argent public pour aider une multinationale à saccager plus de 2000 hectares de terres agricoles et zones humides ?
Ce projet d'aéroport est :
À l'heure de l'indispensable transition énergétique, nous exigeons :
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Le 28 octobre 1886, sur le port de New-York, Grover Cleveland préside la cérémonie d'inauguration de la statue de la liberté et dévoile la plaque dédiée au peuple français qui avait fait don du monument aux Américains.
L'initiative émanait de l'historien Edouard de Laboulaye.
La statue, d'abord connu sous le nom de la Liberté éclairant le monde, devait commémorer l'alliance Franco-américaine durant la révolution américaine, cent ans plus tôt.
Dessinée par le sculpteur français Frederic-Auguste Bartholdi, la statue mesure plus de 45 mètres de haut et arbore le visage d'une femme avec une main levée portant un flambeau.
Le socle qui la supporte a été conçue selon les plans d'Eugene-Emmanuel Viollet-le-Duc et d'Alexandre-Gustave
Eiffel.
En février 1877, le congrès américain approuve le choix du site de Bedloe's Island (rebaptisée Liberty Island en 1956) où le
monument sera érigé, selon la suggestion de Bartholdi.
La statue est achevée en France, en mai 1884.
Plusieurs visiteurs lui rendent hommage, tels Jules Grévy ou Victor Hugo puis, en février 1885, commence le démontage.
La statue est ensuite expédiée en pièces détachée (plus de 200 conteneurs sont nécessaires) en train jusqu'à Rouen, puis par bateau vers les États-Unis, via le port du Havre.
La première pierre du piédestal est posée en juin 1885.
Le dernier rivet est finalement fixé le 28 octobre 1886, en présence de nombreuses personnalités françaises et
américaines.
Sur la plaque fixée à la base du monument est gravé un sonnet de la poétesse américaine Emma Lazarus et intitulé The New
Colossus (Le nouveau colosse) :
"Donne-moi tes pauvres, tes exténués
Qui en rangs serrés aspirent à vivre libres,
Le rebut de tes rivages surpeuplés,
Envoie-les moi, les déshérités, que la tempête m'apporte
De ma lumière, j'éclaire la porte d'or !"
Il s'agit d'un message de bienvenue adressé aux nouveaux migrants qui, depuis 1892, débarquent à Ellis Island, l'île voisine
de Bedloe's Island.
Durant les 3 décennies qui suivirent, le port de New-York et la statue de la liberté accueillirent ainsi plus de 12 millions
de personnes (si on exclut bien-sûr ceux qui furent ensuite expulsés).
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20 octobre 2012 - Posté par benji
L’actualité autour de ce triste lieu ne s’arrêtera jamais, elle ne peut qu’évoluer puisque humainement, nous n’avons pas les moyens de stopper la catastrophe en cours.
Une chose étrange si on regarde bien, c’est que durant des mois nous avons eu un suivi de la situation de Tchernobyl qui fonctionnait à l’uranium, par contre pour Fukushima qui est dans un état bien plus grave et qui fonctionne au plutonium, rien, que dalle ! À croire qu’il ne se passe rien…
Un incendie s’est déclaré ce matin au niveau d’un bâtiment annexe des unités 1 et 2 de Fukushima-DaiichiCe matin vers 11h (heure de Tokyo), un départ de feu s’est déclenché au niveau du poste de transformation haute tension situé une centaine de mètres à l’Ouest des bâtiments-réacteur n°. 1 et 2 de l’ex-centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi.
L’incendie a affecté une zone de 700 m2 [édité, 15:24]
Tepco a indiqué dans un communiqué de presse que le départ de feu s’était produit au niveau du bâtiment Extra-High Switching Yard et s’était étendu sur une zone d’environ 20m x 35m [édité, 15:24]. Ce poste de transformation est chargé de transformer la tension sortant de la turbine de production (18-25 kV) pour la transformer en une tension de 275 kV injectée ensuite sur le réseau. L’incendie aurait été maîtrisé vers 12h.
Pas de blessés et pas d’augmentation « significative » de la radioactivitéIl faut toujours se méfier des imprécisions au niveau des communiqués de presse établis par l’opérateur ; ainsi la locution « pas d’augmentation significative de la radioactivité » ne signifie pas forcément que l’incendie n’a aucune conséquence radiologique mais peut-être qu’il y en a une, minimale.
Un incident filmé par la TBSCamLa fumée blanche est nettement visible sur la vidéo tournée par la caméra TBS/JNN qui surveille en permanence le site depuis une colline située à une vingtaine de kilomètres au Sud-Ouest du site de Fukushima-Daiichi. (à partir de 00:45 sur la vidéo ci-dessous). La fumée semble bien provenir de l’Ouest ou du Nord des bâtiments n°. 1 et 2, le vent semblant être orienté au Nord. Il est difficile de confirmer que cette dernière passe bien sur le côté Ouest des bâtiments (côté collines) comme elle devrait théoriquement le faire si elle provenait bien de l’endroit indiqué par Tepco.
Le mystère de la surchauffe d’un transfo non alimenté [édité, 15:52]Le questionnement qui vient tout de suite à l’esprit est légitime : comment un ensemble de transformation non alimenté peut-il subir un départ de feu aussi important ? La source de l’incendie est-elle réellement située à ce niveau ou ne s’agit-il que d’un nouveau rideau de fumée de l’opérateur ?
Le bâtiment concerné semble ne servir qu’en « supplying power » donc en envoi vers le réseau ; l’alimentation « entrante » se faisant quant à elle par l’intermédiaire d’un autre poste de transformation situé au niveau des unités n°.3 / 4[EDIT : 16:10] Tepco a publié ce croquis sur sa page Japonaise, la location précise de l’incendie semble se situer entre le B/R n°. 2 et la station de transformation. Le mystère s’épaissit : le point situé le plus à l’Ouest du feu est situé à moins de 50 mètres de la face Ouest du bâtiment-réacteur n°. 2. L’incendie a apparemment remonté le flanc Est de la petite colline sur laquelle est située le poste de transformation.
Communique de presse Tepco, 19/10/12
Handouts Tepco 19/10/12 (Japonais)
Vidéo TBSCam Youtube (la vidéo démarre automatiquement à 00:45 sur les premières fumées visibles)
Source des schémas et plans : Interim Report, Tepco, 27/7/11
Via gen4.fr
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Il reste six semaines à la France pour organiser sa production d'électricité afin de faire face à l'hiver, pendant lequel elle ne pourra pas autant s'appuyer sur ses voisins que l'année dernière, a déclaré à Reuters le président de RTE.
EDF, principal producteur, connaît des retards répétés dans la remise en service de ses réacteurs nucléaires et plus tiers d'un tiers de sa capacité de production est actuellement à l'arrêt, contre moins de 5% au cours de la vague de froid qui a touché la France en février dernier.
"L'hiver sérieux commence plutôt en décembre, donc on a encore six semaines", a dit à Reuters Dominique Maillard, président du Réseau de transport d'électricité (RTE), en marge du lancement des travaux d'une liaison électrique haute tension entre la France et l'Espagne.
L'indisponibilité actuelle des centrales nucléaires ne constitue pas le risque le plus important pour la sécurité du réseau, insiste le président de RTE, filiale à 100% d'EDF.
"La préoccupation qu'on a est plutôt liée à la situation européenne", souligne Dominique Maillard, citant la fermeture de huit réacteurs en Allemagne, le développement des énergies renouvelables et l'arrêt de deux réacteurs en Belgique en raison de craintes sur leur sûreté.
En février dernier, la France a pu compter sur ses voisins européens, notamment l'Allemagne, pour importer une quantité record de 9.000 mégawatts (MW) d'électricité, soit l'équivalent en puissance d'environ neuf réacteurs nucléaires.
Traditionnellement exportatrice, la France a besoin d'importer de l'électricité en hiver en raison de sa forte sensibilité au froid.
Dans ce contexte, une consommation trop élevée pourrait obliger RTE à couper volontairement l'électricité dans certaines zones pendant quelques heures afin d'éviter des coupures généralisées, c'est-à-dire pratiquer un "délestage" du réseau.
"Par exemple, on prive d'alimentation électrique un quartier pendant deux heures, en privilégiant bien sûr l'alimentation des hôpitaux, des feux de signalisation, etc. (...) Ce qu'on veut surtout éviter c'est le black-out à 100%."
25 ANS D'ATTENTE POUR FRANCE-ESPAGNE
Pour sécuriser l'approvisionnement, RTE projette de construire une dizaine de liaisons entre l'Europe de l'ouest et la France, un carrefour stratégique en raison de sa situation géographique.
"C'est un défi à relever", admet Dominique Maillard, soulignant que ces 20 dernières années seuls 5.000 MW, sur 13.000 de capacité totale, ont été construits.
"L'objectif, c'est d'en mettre en service 15.000 ces 25 prochaines années. Ça veut dire faire 3 fois plus."
En 2014, une liaison souterraine à haute tension, qui passera sous les Pyrénées par un tunnel dont RTE inaugurait mercredi le lancement des travaux, reliera la France à l'Espagne, souvent qualifiée au même titre que le Royaume-Uni d'îlot électrique en raison de sa situation géographique.
Situé, côté français, à Montesquieu-des-Albères, près de Perpignan, le projet franco-espagnol a mis plus de 25 ans à voir le jour, en raison notamment de fortes oppositions locales.
"La pierre d'achoppement, ce sont vraiment les conditions d'acceptation des ouvrages, c'est le point de passage le plus difficile", admet Dominique Maillard.
Les 65 km de constructions souterraines ont multiplié par 8 le coût du projet initial, portant le total à 700 millions d'euros, répartis entre les opérateurs français et allemands. L'Union européenne participe à hauteur de 225 millions d'euros.
Historiquement, les interconnexions ont été pour la France des opportunités commerciales, permettant d'exporter l'excédent d'énergie générée par ses 58 réacteurs, note la Commission de régulation de l'énergie (CRE).
Dans l'avenir, les échanges vont s'intensifier en raison du développement des énergies renouvelables, les pays compensant l'intermittence du solaire et de l'éolien par des importations d'électricité, dit Dominique Maillard.
"Il y a une solution dont beaucoup rêvent, c'est le stockage", ajoute-t-il. "Mais le moyen qui est à notre disposition, c'est le transport d'électricité."
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Bonjour,
Vous trouverez ci-dessous le message du SNU/FSU Pôle EMPLOI qui interpelle le Directeur Général suite à un
appel au secours d'agents à qui l'on demande d'exécuter une mise en scène pour piéger un chômeur qui ne serait pas dangereux, mais dont on affirme, sans preuve, qu'il serait un
escroc.
A la suite de ce message adressé au Directeur Général de Pôle Emploi, vous trouverez les consignes données aux
agents pour qu'ils participent à cette arrestation en développant des stratégies proposées par une responsable d'équipe : gagner du temps, mentir, demander des pièces, dont Pôle Emploi n'a nul
besoin pour inscrire la personne....
le temps que la police se mette en place à l'extérieur !
Et l'animatrice de conclure : "courage ! aucune crainte à avoir la police ne sera pas loin !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"
Quel est le profil des 2000 nouveaux recrutés par Pôle Emploi : devront-ils avoir des compétences en accompagnement... à la frontière ?
Recours Radiation
http://www.recours-radiation.fr
MESSAGE du SNU/FSU
Mr le directeur Général,
Nous sommes alertés par des collègues de La P. ( Languedoc Roussillon) sur l'utilisation des services de Pôle emploi pour une opération de police consistant à tendre une " souricière" en vue de l'arrestation d'un demandeur d'emploi.
Une nouvelle fois, notre organisation syndicale déplore cette instrumentalisation des missions de Pôle emploi ainsi que la mise en danger , quelle soit physique ou juridique, de nos collègues sur site.
Cette situation nous préoccupe au plus haut point et nous vous demandons de nous communiquer de toute urgence les éléments qui vous ont conduit à autoriser cette collaboration entre les services de Police et ceux de Pôle emploi ainsi que les textes et/ou décisions de justice y afférents.
Voici les propos reçus par mail du 25 septembre 2012 à 10h46 par nos collègues de l'agence de la part d'un (e) responsable d'équipe. Volontairement nous les avons rendus anonymes, autant pour le nom du responsable que du demandeur d'emploi concerné.
" Demain à 10h20 Mr ………….. est convoqué sur la P. à 10h20.Ce DE est uniquement convoqué afin d’être localisé par la police .Cela ne se fera pas sur notre site mais à l’extérieur. Un agent de la police sera dans nos locaux afin de gérer cette localisation avec les autres qui seront à l’extérieur.
X.,Y. et Z. sont en réception Eid. Son titre de séjour est faux mais on ne va pas lui dire et pour prétexte de ne pas l’inscrire on va lui demander ou une copie de son bail ou une attestation d’hébergement.
Il faut essayer de le garder un minimum de temps afin que la police se mette en place à l’extérieur. Ce DE n’est pas dangereux c’est seulement un escroc avec un faux titre de séjour.
Courage ! aucune crainte à avoir la police ne sera pas loin !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! "
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C'est une première. Pôle emploi a été condamné mercredi par la justice pour ne pas avoir assuré sa mission de suivi et de réinsertion professionnelle d'un chômeur de 54 ans. Le plaignant n'avait obtenu que trois rendez-vous en trois ans en demi.
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La banquise arctique est sur le point de disparaître complètement. Pas d'ici 50 ans, mais plutôt d'ici 5 ans, quasiment dans l'indifférence générale. Owni fait le tour de la question avec plein de data dedans.
D’ici 3 ans, l’Arctique pourrait devenir un océan comme les autres.
Les derniers relevés du National Snow and Ice Data Center (NSIDC hebergé par l’université du Colorado) et la Nasa faisaient état d’une chute à 3,41 millions de kilomètres carrés de banquise au Pôle Nord (16 septembre dernier), soit 18% sous le précédent record en septembre 2007 (4,4 millions de km2).
Mais surtout, moins de la moitié de mer gelée qu’à la fin des années 1970, aux premières mesures.
Selon le glaciologue Peter Wadhams du département de physique de l’Océan polaire de l’université de Cambridge, l’accélération du phénomène pourrait mener à la disparition pure et simple de cet océan gelé non pas à l’horizon 2070, comme le prévoyait le Giec en 2007, mais en… 2015-2016.
L’ampleur du phénomène est difficile à se figurer en se postant sur un pôle (exercice peu courant sous nos latitudes).
La quantité de mesures réalisées (et mises à disposition en ligne) par le NSIDC permet néanmoins de constater l’évolution générale du phénomène.
Comme toute étendue de glace (terrestre ou marine), la banquise arctique gèle et fond au rythme des saisons, suivant un yoyo d’une amplitude de plusieurs millions de kilomètres carrés de patinoire.
Un graphique de ce cycle prenant en compte toutes les données mises à disposition par le centre depuis les premières mesures en 1978 ne met guère en évidence phénomène qui alarme les scientifiques (voir le graphique ci-dessus).
En revanche, en relevant les minimas de chaque année (généralement au mois de septembre), le rétrécissement de la banquise arctique apparaît comme brutal et récent (voir le graphique ci-dessus).
Entre 1978 et 2000, la surface ne dépasse pas les 7,6 millions de kilomètres carrés et ne descend jamais sous 5,6.
A partir de 2001, elle n’excèdera plus les 6 millions de kilomètres carrés et approchera même 4 millions de kilomètres carrés en 2007.
Rapportés à un carte, le constat n’est pas si évident : coincée entre le Nord de la Russie et le champs clairsemé des îles canadiennes, la régression est visible mais pas spectaculaire.
A la manière de Skytruth, nous avons transposé la surface de ces étendues glacées aux contrées tempérées de notre luxuriante Europe.
Les relevés géographiques mensuels des contours de la banquise de NSIDC, une fois projetés sur Google Earth, font apparaître l’effondrement (voir notre carte en .gif ci-dessous).
Dans les années 1980, c’est toute l’Australie que l’on aurait pu cacher sous les glaces arctiques tandis que depuis 2007, seuls les Etats membres de l’Union européenne y trouveraient leur place…
Faute de relevés géographiques, nous avons du nous contenter pour le record de 2012 d’une projection.
Le plus bas de 2012 étant de 18% inférieur à celui de 2007, les contours représentés sur la carte représentent, à proportion, la diminution de la surface minimum de la banquise.
Au 16 septembre 2012, la partie gelée de l’Arctique représentait seulement 3,41 millions de kilomètres carrés, soit l’équivalent des surfaces ajoutées de 16 pays européens (Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, France, Irlande, Italie, Norvège, Pologne, Portugal, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède et Suisse, en se basant sur les données géographiques de la Banque mondiale).
Plongée dans la mer, la banquise se comporte comme un glaçon dans un verre : l’eau issue de sa fonte n’entraîne pas, ni n’entraînera directement la montée des eaux.
Elle représente cependant un “stock” de froid qui influence la température des courants marins et aériens, dont l’évolution pourrait influer sur notre climat si ce stock venait à disparaître.
Si la banquise arctique n’est pas la fièvre elle-même, elle constitue un thermomètre efficace du bouleversement climatique qui s’opère.
Mais un thermomètre qui disparaît à vue d’oeil et ne sera bientôt plus qu’une goutte d’eau dans l’océan.
Toutes les données utilisées sont tirées du Sea
Ice Index du NSIDC (à l’exception des données de surface des pays, récupérées sur le site de Banque mondiale)
:
-l’intégralité des mesures de l’étendue de la banquise arctique depuis le 26 octobre 1978 (Google fusion table) ;
-les minima et maxima de surface de 1979 à 2010 (Google Drive). Les mesures n’étant pas complètes pour l’année 1978, nous avons préféré l’exclure de
ce tableau.
Photos par StormPetrel et Jeff
Huffman sous licences Creative Commons, remixées par Ophelia Nor pour Owni /-)
Carte et gif : Sylvain Lapoix et Nicolas Patte. La carte a été réalisée grâce à Qgis et Google Earth.
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Exigeons l’arrêt immédiat des nombreux réacteurs qui ont dépassé 30 ans de fonctionnement, durée pour laquelle ils ont été conçus.
Soutenons la Révolution des Hortensias des Japonais qui, plus que jamais, se mobilisent.