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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 14:09

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Le Festival de Cannes s'ouvre ce mercredi 11 mai.

Le tapis rouge est de sortie.

Les stars également, prêtes à être vénérées par un public

aveuglé par la "magie" du cinéma...

 

 

 

"Tout le jeu est de faire croire qu'il s'agit de cinéma"... Ici Salma Hayek.

"Tout le jeu est de faire croire qu'il s'agit de cinéma"... Ici Salma Hayek. Crédit reuters

 

 


« Et puis ce soir on s'en ira
Au cinéma

Les Artistes que sont-ce donc
Ce ne sont plus ceux qui cultivent les Beaux-Arts
Ce ne sont plus ceux qui s'occupent de l'Art
Art poétique ou bien musique
Les Artistes ce sont les acteurs et les actrices »

Guillaume Apollinaire, Avant le cinéma, Il y a (1925)

 

 

 


 

A propos du Festival de Cannes, Clint Eastwood a parlé « d'enthousiasme », Gilles Jacob « d'effervescence », Frédéric Mitterrand - nul ne s'en étonnera - de « plaisir et de désir ».

 


Tout le jeu du Festival de Cannes est de faire croire qu'il s'agit de cinéma.

 

Dans cette optique, on veut se persuader que c'est un moment de culture, combinant exigence artistique et passion pour un loisir réputé populaire.

 

On va prétendre qu'une forme d'intelligence collective va faire émerger le meilleur art.

 

On va parer chaque film de vertus réflexives et émancipatoires : car il faut toujours se libérer, n'est-ce pas, les Lumières nous ont appris l'horreur des jougs !


On va parler, comme dans la plus traditionnelle rhétorique monothéiste, de ce que ressent le spectateur individuel face à Dieu, pardon, au film, dans « le mystère de l'âme et la solitude du coeur » (Chateaubriand, le Génie du Christianisme).

 

On ne manquera pas de pointer en sourcillant tout ce qui renvoie aux dimensions marchandes et médiatiques.

 

On n'aura pas dit grand-chose.

 


Les stars : de petits Dieux à vénérer

L'étymologie grecque de cinéma est, bien entendu, mouvement.

C'est donc une statuaire en mouvement qui va défiler à la montée des marches,

Galatées mises en mouvement par le regard amoureux des milliers de Pygmalions que sont les spectateurs.


En réalité, les stars sont nos petits Dieux et nous allons les vénérer.


Pendant qu'il monteront les marches - ô abaissement, ô sauvagerie - nous allons les adorer ensemble, en criant, en pleurant, bref en perdant tout de la « dignité » qui nous est si chère.


Les approcher, les toucher, donneront aux chanceux, excitation et surcroît d'être.


Car non seulement, à la vue de l'Acteur, réel et fiction semblent se superposer de manière troublante à l'esprit ; être en présence de la star, c'est en fait est être témoin d'une incarnation, d'une « présence réelle », comme lors de la transsubstantiation de l'Eucharistie. Mircéa Eliade aurait dit « hiérophanie », irruption du sacré.


Gilles Jacob louait « la force d’un des derniers grands rites des mondes contemporains » dans la préface d'un ouvrage collectif publié en 2001, et dans lequel l'anthropologue Elizabeth Claverie compare l'apparition des stars à celle de saints (Aux marches du palais : le festival de Cannes sous le regard des sciences sociales, 2001).


Edgar Morin, lui, évoque des « vedettes impalpables [qui] quittent la pellicule.Et s'offrent au regard des mortels » (Pour une politique de civilisation, 2002).


Rappelons qu'à la différence des musiciens en concert ou des footballeurs, les « stars » viennent à Cannes pour...ne strictement rien faire.


Ou alors, pour faire le zouave sur le tapis, à l'image de Quentin Tarantino, prototype gamin, laid et vociférant de ce nouveau genre de déité devant lesquelles on se prosterne, entre fascination et crainte.


Bienvenue au cirque de Cannes

Comme souvent, il y a deux manières au moins de prendre la chose.


On peut s'en désoler et considérer avec Blaise Pascal qu'il y a un risque à trop prendre au sérieux le jeu, le « divertissement » par lequel l'homme « s'y échauffe et […] se pipe soi-même » (Pensées).


Il nous éloigne trop du Bien.


Tout ce non-rationnel, ces mascarades, ces abandons à des idolâtries passagères ont peut-être une utilité existentielle, mais ne sont en définitive que vanité, mensonge.

 

Aujourd'hui, ce sont de petits maîtres de vertu, accrochés aux « sciences » sociales, qui prennent bien involontairement le relais d'un « credo in unum Deum » que ne renierait pas

 

Benoît XVI, et prétendent nous ramener à notre salut.

 

Pour eux, le cinéma doit nous donner des leçons de réel.

 

N'avons nous pas trop consommé ?

 

Nous sommes-nous assez mortifiés ?

 

Au lieu de spectacle, de cette tentation superflue, ne devrions-nous pas nous préoccuper des vraies questions – qui sont, comme dirait Martine Aubry, « l'emploi et le pouvoir d'achat » ?

 

En vain l'on veut fuir ce coupable polythéisme : il devient pardonnable de chanter les louanges d'un Sean Penn, demi-dieu institutionnel s'il en est.

 

Abonné aux récompenses et aux honneurs, journaliste intermittent intervieweur de Chavez et Castro, bienfaiteur humanitaire de la Nouvelle-Orléans et de Haiti, il interprète le protagoniste de This Must Be The Place de Paolo Sorrentino, en compétition cette année.

 

A en croire le dossier de presse officiel du film, le personnage joué par Penn est une sorte d'homme-enfant qui voit la vie comme « pleine de belles choses ».

 

C'est dire s'il est le versant raisonnable et inoffensif du Quentin Diablotino évoqué plus haut.


La magie du cinéma...

L'astronome le sait : jeunes et vieilles, blanches, jaunes, brunes, rouges et mêmes bleues, les étoiles ne font pas qu'être lumineuses.


Elles rayonnent et magnétisent, elles attirent des corps qui gravitent autour d'elles.

Le sociologue et philosophe Julien Freund fait le parallèle entre le lumineux et le « numineux », reprenant le terme créé en 1917 par le théologien allemand Rudolf Otto pour décrire cette sorte de halo de sacré qui se dégage des choses, hors du rationnel et de l'éthique.


Le Festival est d'autre part un rituel saisonnier.

L'anthropologue écossais Sir James George Frazer (1854–1941) auteur en 1890 du Rameau d'Or, a montré l'importance des rites de fertilité, marquant le renouveau.

Le temps est cyclique comme une pellicule de film qui se déroule et se rembobine.

Le titre trouvait son origine dans une scène de l'Enéide, l'épopée de Virgile.

Le festival n'a-t-il pas lieu tous les ans au printemps ?

La « palme d'Or », symbole tiré des armoiries de la ville de Cannes, n'est-elle pas...ce rameau ?

 

Aussi va-t-on voir à la télévision les journalistes courir, suer, quémander, recueillir quelques gouttes de ce numineux impalpable, puis extatiques, remplis, bredouillant, répéter, traduire au téléspectateur la parole oraculaire.

Dans le ciel, les constellations ont déjà des noms grecs.

 

Sur le tapis rouge, les « étoiles » iront par deux, comme les dieux grecs.

Fermant le cortège des dieux mineurs, des satyres, des Tarantino bossus et sautillants, des caméras cyclopiques, des nymphes, des muses, nous verrons Brad Pitt au coeur d'airain et Angelina Jolie aux yeux clairs - Brangelina - en Héra et Zeus chryséléphantins.


Et la marche de cette race d'immortels nous rendra heureux.


Dans notre paganisme nous sommes grecs, africains, chrétiens du moyen-âge.


Croyance, foi, religion, les mots peuvent sembler trop forts, renvoyer par trop à des institutions bien établies.

 

Appelons simplement ce beau tableau de civilisation la « magie » du cinéma.

 


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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 13:54

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A Cannes, avec une chambre d'hôtel au prix moyen de 330 euros, certains préfèreront le camping en smoking ! A Cannes, avec une chambre d'hôtel au prix moyen de 330 euros,
certains préfèreront le camping en smoking !

L'édition 2012 du plus grand festival consacré au cinéma ouvre ses portes du 16 au 27 mai.

Le glamour, le cinéma et les soirées huppées…

Derrière ce réjouissant programme se cache un budget de 20 millions d’euros !

 

 

 

 

Le Festival de Cannes est une entreprise « presque » comme les autres, avec ses recettes…et ses dépenses !
« Le budget du Festival représente environ 20 millions d’euros dont la moitié provient de fonds publics » précise l’organisation sur le site officiel du festival. 

Depuis 1948 et 1950, il s’agit d’éviter l’écueil de la pénurie de fonds.

Pas d’argent, pas de soirées !


 

Aujourd’hui les fonds sont là.

Le ministère de la Culture provisionne environ 3 millions d’euros.

La ville de Cannes est également un gros contributeur.

La précédente édition lui avait coûté quelques 5 millions d’euros, un plafond qui ne change guère depuis quelques années. 

D’autres collectivités territoriales participent également au financement (le Conseil Régional Provence-Alpes-Côte d'Azur et le Conseil Général des Alpes Maritimes).
Cette coquette somme est complétée par les apports d'un certain nombre de groupements professionnels, partenaires institutionnels et de sociétés privées, partenaires officiels du Festival.

Canal + débourse par exemple 6 millions d’euros pour « descendre à Cannes » !



Rajoutez à cela les frais annexes comme la fabrication de la Palme d'or (une belle plante réalisée par la maison Chopard et dont le coût est estimé à 20 000 euros), la location de chambres d'hôtels, des voitures (un marché détenu depuis 29 ans par Renault), les services de Jacques Dessanges pour coiffer ces stars, vous arrivez à un total de 20 millions d'euros dépensés en 10 jours. C'est cela la magie du 7ème art !

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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 08:08

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Sur la Croisette, outre strass et paillettes, il y a aussi des dizaines de starlettes sans talent, peu frileuses, qui sont prêtes à tout pour se signaler aux yeux d’un producteur…

 

 

 

 

 

 

 

cannes.jpgAaah, Cannes et son festival de cinéma qui a débuté voici quelques jours, le plus prestigieux de la planète 7è Art probablement, l'un des plus "bling-bling" aussi.


Tapis rouge, hôtels de luxe, stars à foison, cocktail, soirées dansantes, people et jet-setters en goguette…


Bref le mythe, le strass et l’écœurant qui occultent parfois la compétition cinématographique.


 

 

Je n’ai jamais trop apprécié ce festival trop people à mon goût par rapport à des rendez-vous comme La Mostra, Sundance ou La Berlinale.

 

En outre, d’aucuns – et je partage cette opinion – affirment que le Festival de Cannes est devenu l’antre du cinéma commercial plutôt qu’un rendez-vous du vrai cinéma d’auteurs mais force est de reconnaître quand même que Cannes a couronné, depuis 1946, de grands films, de grands réalisateurs et de grands acteurs.

 

Dommage, finalement, qu’il y ait tout ce flonflon autour !

 

D’ailleurs, aujourd’hui, beaucoup de Cannois regrettent le festival d’antan…  

 

Et parmi les artifices inutiles qui foisonnent sur la Croisette, comment ne pas parler de celles que l’on nomme starlettes ; des jeunes (et parfois nettement moins jeunes) femmes qui rêvent de faire carrière dans le cinéma mais qui n’ont aucune formation, aucune expérience et… aucun talent !

 

Tout juste ont-elles à faire valoir une plastique souvent généreuse et avantageuse.

 

Encore que ces dernières années, à cause de la vulgarisation de la chirurgie esthétique, ces pisseuses n’ont même plus de beauté naturelles à offrir…

 

 


 

Chaque année donc, depuis le début, pendant la dizaine de jours que dure le festival, une kyrielle de filles se presse sur la Croisette et s’y pavane dans l’espoir de croiser un producteur, un réalisateur ou un acteur qui acceptera de les faire entrer dans l’industrie du cinéma.

 

Beaucoup d’entre elles sont prêtes à tout pour parvenir à leur fin.

 

Poser nues pour les objectifs de la presse qu’elle soit traditionnelles ou à potins, choquer l’assistance en s’imposant à poil sur les fameuses marches (c’est arrivé en 1962 et en 1983), accepter des rendez-vous vaseux et, si besoin est, payer de leur personne…

 

Prêtes à tout mais bonnes à rien car dans la quasi-totalité des cas ces starlettes rentrent de Cannes bredouilles, avec leurs rêves en poche et leur culotte à la main !

 

Il faut dire que certains n’hésitent pas à profiter de la candeur ou des espoirs de ces filles pour les jeter dans leur lit ou les entraîner dans des soirées orgiaques à souhait.

 

Il s’en trouve même pour se faire passer pour des producteurs afin de duper les donzelles.

 

A Cannes, il n’y a jamais loin d’un espoir de mythification à une espèce de mystification !

 

Faut dire que ces starlettes naïves, qui ne craignent pas de prendre froid et dont la pudeur n’est pas l’apanage sont des proies aussi faciles qu’idéales pour les margoulins qui hantent les travées cannoises.

 

Quand en mai de mille feux la Croisette s’habille, les starlettes elles se déshabillent !

 

 

 

 

 


Le plus ahurissant avec les starlettes est que, chaque année, elles reviennent en nombre avec ce même espoir d’être la nouvelle Deneuve, la future Adjani ou de devenir l’égale de Marceau malgré le faible taux (il est proche de zéro) de réussite de leurs congénères des années auparavant.

 

En fait, elles font partie du paysage cannois pendant 11 jours ; elles animent les plages et les allées du festival où on peut les voir toujours proches d’un photographe ou d’une caméra de télévision.

 

C’est leur quart d’heure de gloire…

 

Après tout, ce n’est pas pire que d’aller faire le con dans une émission de télé-réalité dans l’espoir de devenir une star pipolisée… ou un pipole starisé plus exactement.

 

Mais quand même, lorsque je vois ces filles prêtes à tout pour se faire remarquer je me dis que, plus que jamais, notre société est tournée bien davantage sur le superflu que sur l’essentiel.

 

L’idée de la réussite c’est d’être reconnu par le plus grand nombre même si on ne dispose pas d’un talent affirmé pour y parvenir.

 

Ces gonzesses pitoyables à poil sur la croisette, c’est un vrai Festival de Connes. Connes !

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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 19:23

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Un émir offre un PALAIS à l’enfant de Sarkozy :
« Non! Les retombées économiques du pétrole arabe
ne profiteront jamais aux enfants des rues des pays arabes »

Nicolas Sarkozy ne veut pas dire s’il a reçu une villa à Marrakech


Un émir offre un PALAIS GRATUIT à l’occasion de la naissance de l’enfant de Nicolas Sarkozy: »Non… les retombées économiques du pétrole arabe ne profiteront jamais aux enfants des rues des pays arabes »


 

 

Nicolas Sarkozy accompagné de son épouse Carla Bruni est arrivé mercredi 16 mai au soir à Marrakech pour une visite privée.

«Carla et son époux vont souffler un peu, réfléchir à leur avenir mais aussi redécouvrir un autre rythme, sur un autre mode», souligne une source proche de l’ex-première dame de France.

 


 

 

Un «cadeau» tenu secret :


A l’époque, la presse marocaine avait fait état d’une information, sans en livrer la source, qui laissait entendre que Nicolas Sarkozy avait reçu cette maison en cadeau.

«Un superbe palais faisant partie du projet immobilier de luxe Amelkis à Marrakech, aurait été offert à un célèbre chef d’Etat européen», rapportait l’hebdomadaire Al Ousboue cité par Biladi.


Le «cadeau», entouré du plus grand secret, avait ainsi été dévoilé par des anonymes, mettant dans l’embarras de généreux donateurs, affirmait l’hebdomadaire marocain.

Al Ousboue indiquait que c’est un riche homme d’affaires des Emirats arabes Unis qui avait offert cette luxueuse demeure à un «chef d’Etat européen à l’occasion de la naissance récente de son bébé».


La villa de près de 700 m2, construite dans une enclave VIP et ouvrant de plein pied sur l’un des plus beaux golfs de la ville, serait similaire à celle que s’étaient fait construire en 2004, sur le même site, Jean-Louis Borloo, ex-ministre de Sarkozy et son épouse, la journaliste de télévision Béatrice Schonberg.

Elle fait partie d’un projet du groupe émirati Emaar (un temps associé au roi du Maroc sur le projet) où les demeures de ce standing sont commercialisées à partir de 700.000 euros.


 

Carla Bruni-Sarkozy l’avait probablement visité en décembre dernier dans la plus grande discrétion lorsqu’elle avait séjourné à Marrakech pour les fêtes de fin d’année.


Bottin mondain


On le sait, depuis quelques années, Marrakech est devenue l’un des lieux de résidence préféré des célébrités françaises.

En dresser la liste, c’est retrouver ceux qui font l’actualité politique, la Une des magazines people, trustent les émissions de télévision ou sont au cœur du capitalisme à la française. Certains n’y voyagent qu’en oiseaux migrateurs.

Ils prennent à Marrakech leur quartier d’hiver mais n’y possèdent pas de nid.

Nicolas Sarkozy fut d’abord l’un d’eux.

Lui et ses proches y avaient leur rituel de vacances de la Saint-Sylvestre.


En 2007, pour son premier déplacement au Maroc en tant que président, il avait débarqué à Marrakech.

Durant son quinquennat, le roi Mohammed VI mettait souvent à sa disposition le Jnan Kebir (le grand jardin), le dernier né des palais du monarque alaouite, mélange d’architecture mauresque et de décoration africaine.

Le couple Sarko-Carla était aussi l’invité de Mohammed VI au Royal Mansour – qui a aussi vu défiler Cécilia et son compagnon Richard Attias ainsi que Jacques et Bernadette Chirac.


Classé en 2011 parmi les hôtels «les plus extraordinaires du monde» par le Conde Nast Traveler, la Bible des voyageurs fortunés, le palace est en passe de détrôner la célébrissime Mamounia.

Que vient chercher la tribu gauloise qui hante ces palaces de rêve et achête des riads au cœur de la médina et des villas de maître nichées dans les palmeraies ?

Un concentré de Marrakech-sur-Seine, autrement dit un club ultra sélect où les élites parisiennes se retrouvent entre elles.



Palais des 1001 ennuis


La tribu a ses pionniers qui ouvrirent la voie il y a vingt ou trente ans.

Le couple Yves Saint-Laurent – Pierre Bergé était de ceux-là.

Après un premier voyage à Marrakech en 1966, ils firent en 1974 l’acquisition d’une première maison, Dar Essaâda (la maison du bonheur en arabe), réplique en miniature de la célèbre villa Taylor où Churchill et Roosevelt avaient scellé le sort de l’Afrique du Nord en pleine Seconde Guerre Mondiale.

Ils aimaient passer de longues heures dans les Jardins Majorelle, du nom de ce peintre tombé amoureux des couleurs chatoyantes de la cité.


Et, lorsqu’au début des années 80 un promoteur immobilier avait menacé de les raser, ils décident de faire oeuvre de sauvegarde, achètent le terrain, l’atelier et la maison du peintre.

Rebaptisée Villa Oasis, la propriété est devenue un lieu mythique.

C’est dans ses jardins aujourd’hui ouverts au public que les cendres d’YSL ont été dispersées.


Alain Delon et Mireille Darc aussi font figure de précurseurs dans cette «colonisation touristique» qui n’ose pas dire son nom.

Avec ses zelliges flamboyants, ses murs intérieurs peints au tadelakt, ses fenêtres voilées par des moucharabiehs, le riad qu’ils s’offrirent était à vrai dire un palais, le palais de la Zahia – la joie de vivre en arabe.

Situé à deux pas de la Mamounia, c’est une immense bâtisse que des Occidentaux cousus d’or se repassent lorsque l’ennui menace.


Paul Getty Junior l’homme le plus riche des Etats-Unis, disait-on à la fin de seconde guerre mondiale, l’avait achetée en 1968 et en avait fait un bijou architectural en préservant son style d’origine grâce au concours de l’architecte Bill Willis, qui y ajouta une piscine dans une cour-jardin à l’abri d’un haut mur.

Il l’avait ensuite cédé à une comtesse française au sang bleu, née La Rochefoucauld, avant que le couple d’acteurs ne le rachète à son tour.



Un vaudeville très Paris-Marrakech


Puis est arrivé Bernard-Henri Lévy, qui a fait de ce riad, tout proche d’un des palais du roi Mohammed VI, un salon de la vie politique franco-française où se croisent ténors de droite et grandes consciences de gauche.


Les alcôves de son salon marocain et de sa vaste salle à manger, qui forment des niches rectangulaires coiffées de plafonds en cèdre décorés, résonnent encore de l’intrigue amoureuse qui a passionné le Tout-Paris il y a quelques années : c’est là que Carla Bruni, venue en escapade avec l’éditeur Jean-Paul Enthoven, brisa le couple Raphaël Enthoven, le fils de Jean-Paul, et de Justine Lévy, la fille de BHL.

Un vaudeville très Paris-Marrakech qui inspira deux romans, ceux de Justine et de Jean-Paul.


Jusqu’à sa chute, Dominique Strauss-Kahn faisait partie du cénacle.

Et pour cause : plus personne en France ni dans la médina n’ignore que le désormais paria de la politique française dispose lui aussi d’un riad à quelques pas de babouches de celui de BHL.

Dispose, car il n’est pas le propriétaire de la luxueuse demeure.

Elle appartient pour l’essentiel à son épouse, la journaliste Anne Sinclair, qui l’aurait achetée à Laura Gomez, ex-femme de Kyle Eastwood, le fils de Clint – pour près de 500.000 euros.

 


Kech, hypnotique «base arrière»


Malgré la crise, l’investissement s’est révélé judicieux : la bâtisse, est aujourd’hui évaluée au bas mot à 3 millions d’euros par les professionnels.


DSK n’est pas le seul à avoir sa «base arrière» à Marrakech.

Il a entre autres voisins un éphémère secrétaire d’Etat de l’ère François Mitterrand, Thierry de Beaucé, qui exploite depuis des années, avec son compagnon brésilien, le riad Madani, une ancienne demeure du grand vizir Glaoui, transformée en maison d’hôte de luxe avec jardin de rêve et piscine en terrasse sur plus de trois mille mètres carrés.


Les patrons du CAC 40 ne sont pas en reste.

Sans parler des stars du Show-biz comme Jamel Debbouze, heureux propriétaire d’une villa dans le quartier huppé de Targa.

Exemple parmi d’autres, Jean-René Fourtou, qui fut le tombeur du «maitre du monde», Jean-Marie Messier, avant de prendre sa place à la tête du groupe Vivendi – lequel contrôle le principal opérateur téléphonique du pays, Maroc Telecom -, a également ses habitudes à Marrakech.

Des habitudes d’homme très riche.

Il possède depuis plus de dix ans une propriété, Dar El Sadaka (La maison de l’amitié), installée dans une ancienne oliveraie de 13 hectares aux allures de musée fantasmagorique. Fourtou, comme Alain Carignon, l’ancien maire de Grenoble, qui réside également à Marrakech, sont des proches de Sarkozy.

Ils avaient même été pressentis pour jouer les sous-marins pour la campagne de l’ex-président…


C’est un fait : Marrakech hypnotise.

La ville attire comme la lumière un papillon.

Presque tout le gotha français y possède son palais des mille et une nuits, surtout lorsque les bords de Seine ne sont plus cléments.

 

(source)

————

 


L’ex-président de la république française, Nicolas Sarkozy s’apprête à vivre un exil doré au Maroc.

Pour le remercier d’avoir défendu les intérêts de la monarchie marocaine, Nicolas Sarkozy reçoit un joli cadeau : une luxueuse villa à Marrakech.


Selon le site web Slate Afrique, qui reprend une information de l’hebdomadaire marocain Al Ousboue Assahafi, l’ancien président français battu aux élections présidentielles françaises, est désormais le propriétaire d’une villa dans « le Golf Amelkis de Marrakech, un luxueux site situé sur la route de Ouarzazate », explique-t-on.

« Cette maison de 700 m2 aurait été offerte Sarkozy par un riche émirati qui se trouve être aussi un associé au roi du Maroc Mohamed VI ».

Tout indique donc que le généreux donateur a cherché à récompenser Sarkozy pour tous ses services rendus…

 

 


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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 09:18

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http://www.egalitefemmeshommes-brest.net/local/cache-vignettes/L141xH200/arton298-15737.png

 

Le 17 mai est la journée mondiale de lutte contre l’homophobie et la transphobie.

 

Les associations Rainbow Brest et Young rainbow organisent,

avec le soutien de la ville de BREST

et du mouvement français pour le planning familial,

un grand rassemblement

" pour plus de tolérance envers toutes formes d’amour"

 



JEUDI 17 MAI 2011 A 18h30 Place de la Liberté à BREST

 


 


Ces associations seront présentes toute la journée du 17 mai sur la place de la liberté .

 

N’hésitez pas à venir les rencontrer et les soutenir.

 

 

 

 

 


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29 avril 2012 7 29 /04 /avril /2012 08:45

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Actualité >
Environnement
Des plantes pour nettoyer les sols pollués

Des fleurs qui absorbent les polluants des sols et les stockent dans leurs feuilles afin qu’on puisse les récupérer. C’est ce petit miracle qui est en train d’être testé dans un ancien village minier du Gard.

Boris De La Cruz | Publié le 23.04.2012, 09h05

 

 

 

 

 

SAINT-LAURENT-LE-MINIER (GARD), JEUDI. Daniel Favas, adjoint à l’environnement, montre les plantes qui dépolluent les sols de la commune.
SAINT-LAURENT-LE-MINIER (GARD), JEUDI. Daniel Favas, adjoint à l’environnement, montre les plantes qui dépolluent les sols de la commune. | (LP/BORIS DE LA CRUZ.)

 

Ce n’est pas de la science-fiction. Dans un petit village du Gard, on utilise actuellement deux végétaux différents pour dépolluer des sols contaminés depuis des décennies aux métaux lourds. La technique était testée depuis deux ans sur 250 m2, mais l’expérimentation vient de passer à un stade supérieur puisque ce sont maintenant quelque 2 ha qui sont en de plantation dans le petit village de Saint-Laurent-le-Minier, sur la zone la plus souillée de la commune, au hameau dit de la Papeterie.


Cette « chimie verte » vise à récupérer, dans les terres lourdement polluées, les traces de zinc et de plomb laissées par un siècle d’exploitation minière. Noccaea caerulescens à fleurs bleues et Anthyllis vulneraria à fleurs jaunes se sont adaptées avec le temps aux terres contenant des métaux lourds et arborent des fleurs qui ne poussent que dans cet environnement défavorable. C’est dans leurs racines que les minéraux circulent avant d’être séquestrés dans les feuilles. « Celles-ci sont ensuite séchées, puis transformées de manière écologique pour l’industrie pharmaceutique, explique Claude Grison, professeur à l’université de Montpellier et chercheur au CNRS. Par exemple, le zinc devient ainsi chlorure de zinc, un produit que l’on retrouve ensuite dans d’élaboration de nombreux médicaments. »

Jusqu’en 1991, l’extraction de plomb et de zinc faisait la richesse de cette vallée encaissée des Cévennes. Après la fermeture des mines, outre la difficulté de la reconversion économique, un énorme problème est apparu : la pollution des sols aux métaux lourds à des taux bien supérieurs à la normale.

« On a interdit la vente des fruits et légumes récoltés dans le village, notre oignon des Cévennes, qui était en AOC (NDLR : appellation d’origine contrôlée) a été déclassé, les agriculteurs se sont retrouvés sans activité à cause de la pollution, déplore Daniel Favas, adjoint à l’environnement. Il y a même eu un cas de saturnisme. »

Il y a quelques années, une opération très coûteuse a tenté de dépolluer superficiellement… Sur plusieurs hectares, 50 cm de terre ont été grattés et remplacés par une glèbe propre. « Deux ans plus tard, les sols étaient autant pollués qu’avant l’opération, se lamente l’élu. C’est vrai que ces deux plantes sont un espoir pour notre commune de lutter écologiquement, et à moindre coût, contre cette pollution qui pourrit notre vie au quotidien et empêche le village de se développer. »


Le Parisien

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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 06:36

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http://www.lepoint.fr/images/2012/04/04/martin-luther-king-545086-jpg_373764.JPG

 

 

Biographie et informations


Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Atlanta , le 15/01/1929
Mort(e) à : Memphis , le 04/04/1968

Biographie :

Martin Luther King, Jr. est un pasteur baptiste afro-américain né à Atlanta (États-Unis) le 15 janvier 1929 et mort assassiné le 4 avril 1968 à Memphis.

Militant non violent pour les droits civiques des Noirs aux États-Unis, pour la paix et contre la pauvreté, il organise et dirige des actions tel le Boycott des bus de Montgomery pour défendre le droit de vote, la déségrégation et l'emploi des minorités.

Il prononce un discours célèbre le 28 août 1963 devant le Lincoln Memorial à Washington durant la marche pour l'emploi et la liberté : « I have a dream » (J'ai un rêve).

Il est soutenu par John F. Kennedy dans la lutte contre la discrimination raciale ; la plupart de ces droits seront promus par le « Civil Rights Act » et le « Voting Rights Act » sous la présidence de Lyndon B. Johnson.

Martin Luther King devient le plus jeune lauréat du prix Nobel de la paix en 1964 pour sa lutte non violente contre la ségrégation raciale et pour la paix.

Il commence alors une campagne contre la guerre du Viêt Nam et la pauvreté, qui prend fin en 1968 avec son assassinat officiellement attribué à James Earl Ray, dont la culpabilité et la participation à un complot sont toujours débattues.

Il se voit décerner à titre posthume la Médaille présidentielle de la liberté par Jimmy Carter en 1977, la médaille d'or du Congrès en 2004, et est considéré comme l'un des plus grands orateurs américains.

Depuis 1986, le Martin Luther King Day est un jour férié aux États-Unis.

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1 avril 2012 7 01 /04 /avril /2012 07:39

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Mike Adams (NaturalNews)
Samedi 31 Mars 2012

Une enfant enlevée à sa mère à l'hôpital... pour y être vaccinée de force!

Un autre cas choquant de travailleurs sociaux tyranniques et trop zélés s’est produit en Pennsylvanie, alors qu’une maman venait d’accoucher, dans une ambulance, d’une petite fille en parfaite santé.

La maman fut menacée par une travailleuse sociale et accusée de ne pas permettre que son enfant subisse un « traitement médical »

(Ce qui s’est avéré faux par la suite).

En réalité, la maman épuisée par l’accouchement dans l’ambulance, avait simplement posé des questions.

Elle voulait notamment  savoir ce qu'on avait injecté, sans son avis, à son enfant (vitamine K).

 

 

Alors que la maman a continué à poser poliment des questions pour savoir de quoi on l’accusait vraiment, la travailleuse sociale, Angelica Lopez-Heagy, s’est à nouveau permise de la menacer.

Pour toute réponse, la travailleuse sociale se permit d’exiger : «  Puisque vous ne voulez pas coopérer, je vais appeler la police et nous prendrons la garde du bébé. »

 

La travailleuse sociale a alors exigé que la mère et le père signent un document intitulé « Plan de Sécurité ».

Un document qui liait les parents, par contrat, à accepter tous les actes médicaux que l’hôpital veut imposer à tous les nouveau-nés, y compris l’administration de divers vaccins. 

  

Quand la maman a exprimé le désir de consulter son avocat avant de signer le document, la travailleuse sociale a réitéré sa menace d’appeler la police.

 

Peu après, on a pressé la maman pour qu'elle donne son accord à la vaccination anti-hépatite B.

La maman a alors accepté à la condition qu'on lui prouve qu'elle ou son enfant était positif au test.

On lui a alors répondu qu'on avait oublié de demander ce test en même temps que les autres analyses de sang qui avaient été effectuées plus tôt, qu'il n'était plus possible de les réaliser ce jour-là et qu'il fallait vacciner sans avoir les résultats du test.

 

Cette maman a alors supplié qu'ils attendent, avant de décider, le retour de son mari, qui avait dû quitter l'hôpital peu de temps avant.

 

La police est alors arrivée et a  enlevé la petite fille.

Vu que les travailleurs sociaux de l’hôpital prétendaient que l’enfant était souffrante ou malade, la police a  décidé de prendre la garde de la petite fille.

(Arguments complètement fabriqués pour justifier l’enlèvement).

On a ensuite vacciné de force le bébé contre l'hépatite B, sans le consentement de sa mère !

Toute cette affaire devait recevoir l’approbation du travailleur social Lopez-Heagy.

 

 

Il faut comprendre que si l’hôpital  fait enlever un bébé et que la santé de ce dernier est endommagée par un vaccin, le fardeau financier retombe entièrement sur la maman !

 

En fait, la maman pourrait même être accusée de « maltraitance » si les dommages provoqués par le vaccin ressemblaient de quelque manière que ce soit à des abus physiques (il arrive souvent que les vaccins puissent provoquer des contusions, des enflures et des lésions cérébrales comme on en retrouve par exemple dans le cas du Syndrome dit du « Bébé Secoué »).

 

Le personnel hospitalier a ensuite kidnappé la petite fille et a jeté la maman dehors.

Après avoir pris « possession » de la petite fille, ils ont contraint la maman et le père à dormir dans le parking de Wal-Mart.

Ils ont autorisé la maman à rentrer toutes les trois heures dans l’hôpital pour allaiter le bébé.

Et encore, il s'avère que ce délai était encore beaucoup plus espacé et donc non respecté.

 

Fort heureusement, ce cas a finalement été pris en charge par l'association HSLDA (qui défend l'enseignement à domicile), qui compte aider cette famille à intenter les poursuites judiciaires qui s'imposent au vu de la situation subie.

 

Michael P. Farris, président de HSLDA, justifie ainsi l'implication de son association dans la défense de ce type de cas:

 

 "Nous prenons ce cas en charge parce que nous sommes fatigués de constater l'érosion des droits parentaux, potentiellement dans chaque domaine de la vie. Les droits parentaux en matière médicale ont un impact sur bien d'autres droits parentaux, comme ceux ayant trait à l'éducation.  Et puis la vérité toute nue est la suivante: si nous ne nous battons pas pour la défense des droits parentaux, il est probable que nos droits parentaux seront érodés peu à peu, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien."

 

 

Pour lire le compte-rendu intégral de cet incident (en anglais) : ICI  

 

 
 
Sources: NaturalNews ; HSLDA ; Setyoufreenews ; The Healthyhomeeconomist

29 mars 2012. D'après Mike Adams (NaturalNews),

complété par Initiative Citoyenne

 

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1 avril 2012 7 01 /04 /avril /2012 07:14

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Manifestants protestant contre l'austérité à Francfort le 31 mars 2012...
BERLIN
(AFP) / 22:24
De violents affrontements ont opposé policiers et manifestants venus protester contre la politique d'austérité imposée par l'UE et la BCE aux pays méditerranéens, samedi à Francfort (ouest de l'Allemagne), a-t-on appris auprès de la police.

Un policier aurait été grièvement blessé, après avoir été atteint par des pierres. Il est en soins intensifs, mais la police n'a pas pu préciser si son pronostic vital était engagé.

Elle n'a pas non plus souhaité fournir de bilan pour les blessés, ni le nombre des interpellations, car l'intervention est toujours en cours.

Elle a évalué à 4.300 le nombre de manifestants venus à l'appel du collectif "M-31" (pour 31 mars), dans le cadre d'une "journée d'action européenne contre le capitalisme".

Du côté des organisateurs, on parlait de 6.000 participants, d'"au moins 200 interpellations" et de "nombreux blessés".

"De nombreuses personnes ont des hématomes, il y a au moins une fracture avérée, et de très nombreuses personnes incommodées par le gaz lacrymogène utilisé par la police", a expliqué à l'AFP un porte-parole.

Il a estimé que c'était la charge des policiers armés de matraques, après des jets de sachets de peinture sur la façade du siège de la Banque centrale européenne (BCE) à Francfort, qui avait fait dégénérer la situation.

Jusque là "nous (étions) plutôt satisfaits du déroulement de la manifestation et du nombre de gens venus pour montrer leur solidarité avec la lutte sociale des pays méditerranéens touchés par la politique d'austérité", a-t-il raconté.

"Je peux comprendre les gens qui ont jeté la peinture, même si ce n'était pas l'objet de la manifestation. (Mais) après la charge (de la police), on a dû appeler à la dispersion du cortège et de petits groupes se sont dispersés dans la ville", a-t-il ajouté.
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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 06:37

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Vendredi 30 mars 2012

- Publié dans : ACTUALITE

Hospitalisation sous contrainte d'un militant non violent

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Lundi 26 mars 2012, un militant défenseur de l’environnement s’est rendu à la mairie de son village vers 18 h, ayant appris que le maire de la commune avait demandé le déclassement de l’unique zone terrestre Natura 2000 du village. Il a alors entamé une action non violente dans les locaux de l’hôtel de ville en s'enchaînant à un puits.

Elus, gendarmes et pompiers se rendent sur place et décident, bien que l'action se déroule dans le calme, de l'hospitalisation d'office du militant par arrêté municipal !

60 heures plus tard, personne n'a pu communiquer avec ce militant. La municipalité refuse toute information. La gendarmerie indique que l'action troublait l'ordre public et que le militant présentait un danger... pour lui-même.

Depuis la promulgation de la nouvelle loi du 5 juillet 2011, sur les hospitalisations psychiatrique sans consentement, des situations analogues sont malheureusement de plus en plus fréquentes envers les militants ou les syndicalistes. En effet, tous les « troubles à l’ordre public » peuvent être dorénavant psychiatrisés, solution de facilité qui entraîne une privation de liberté pendant au moins 48h.

A l'heure actuelle, il n'est pas possible d'accéder au dossier de cette personne, seule autorisée à accéder aux pièces et de fait dans l'impossibilité de communiquer.

C’est une atteinte considérable portée aux libertés et aux droits sociaux. De nombreuses organisations signataires de l’appel commun contre les soins sécuritaires dénoncent avec force cette loi liberticide, entre autres : la Ligue des Droits de l’Homme, l’Union Syndicale de la Psychiatrie, SUD santé sociaux, le Parti de Gauche ou le Parti Communiste.

La section de la Ligue des Droits de l’Homme « Loupian et les communes du Nord du bassin de Thau » et la LDH Languedoc Roussillon condamnent cet internement.

De telles pratiques s’inscrivent dans les dérives autoritaires actuelles et ne sont pas compatibles avec un Etat de Droit.

 

je connais jean-pascal et j'ai eu sa compagne au téléphone ce soir, je précise pour les nouveaux : Jean-pascal est un gars plutôt placide, il est calme doux mais il est créatif pour défendre ses convictions écologistes et des causes nobles et justes et il gêne beaucoup la mairie de Loupian. le but de se groupe est d'envoyer un mail à la mairie et de : "réagissez/diffusez vite/ journalistes à vos plumes/radios/caméras : un militant écologiste est enfermé de force, interné et en isolement à montpellier depuis lundi pour son action militante non violente par décision du maire de LOUPIAN ! c'est un ami, et il n'est pas ouinouin ! il est aussi faucheur volontaire, poète à ses heures, aide soignant dénonçant les maltraitances....un qui dérange ? donc j'en appelle aussi à tous les militants ! Libérons Jean-Pascal Michel ! ligue des droits de l'homme prévenue . Stéphanie Muzard Le Moing 

http://paroledecitoyens.blog4ever.com/blog/index-155111.html


Nous exigeons que cette privation de liberté cesse le plus tôt possible.

https://www.facebook.com/groups/190764347706605/

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